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DISCOTHÈQUE FROM A TO Z & BACK AGAIN – Part 13 – lettre J

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  J comme… Il y a un tas de Jacksons, Jaguars, James, Jesters, quelques Jesus, non un seul, j’élimine Jesus Jones, la pire première partie des Cramps que j’ai vue, et Jesus & The Groupies, rangé avec Thee Butchers Orchestra, des Johnny aussi (non, je vous vois venir), pas mal de Johnson, de Jones aussi. Après avoir évoqué mon choix, je commencerai par tous ces Jacksons etc, avant les listes habituelles, qui seront d’autant plus courtes. J’allais oublier le traditionnel groupe que je n’apprécie pas : Judas Priest ( L'Archiviste : il est commun de ne pas apprécier Judas quand on aime autant de Jesus, Patrick 😉). Mon choix, donc, c’est Cordell Jackson , pas tant ses rares disques en solo, mais plutôt en tant que songwriter – Dateless Night, She’s The On That’s Got It… / productrice / créatrice du studio et label associé Moon Records, à Memphis. Respect. Les Jackson, donc, à part Cordell, et par ordre de préférence, J.J. Jackson , dont les Cramps reprenaient parfois live (19...

7" - part 4 - THE SONICS : Strychnine (et la France)

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  Dernière rubrique double sider 7’’ avec une connexion Cramps. «  Strychnine  », repris par les Cramps sur leur premier album en 1980, a contribué à refaire / faire découvrir les Sonics aux plus jeunes. Contrairement à la B side «  Shotdown  », « Strychnine » n’est pas sorti format single à l’époque (1964). Norton a réparé cet oubli en 1999, avec la bénédiction d’Etiquette Records, le label des Sonics, créé par leurs potes les Wailers. Les deux morceaux sont des originaux composés par Gerry Roslie, le chanteur / hurleur / keyboardist du groupe. Comme ceux que cet article est susceptible d’intéresser connaissent déjà tout sur ces pionniers du rock garage 60’s, je ne vais pas m’étendre sur le bio du groupe, dont il ne reste aujourd’hui aucun membre original. Je vais me limiter à évoquer les deux morceaux du single et les liens des Sonics avec la France. Strychnine Les paroles parlent d’elles-mêmes (pléonasme). Some folks like water Some folks like win...

RÉTROVISEUR 7 - WINTERTHUR 1972 - PROCOL HARUM & STEPPENWOLF

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Les 30 septembre et 1er octobre 1972, pour la venue exceptionnelle en Europe continentale de Procol Harum et Steppenwolf, les organisateurs suisses de Good News ne font pas les choses à moitié avec un livret en allemand et en français. En entrant dans la salle de Winterthur, ville proche de Zurich, vous avez droit à un coussin en mousse pour vous asseoir. L’ambiance est cool pour faire de ces deux journées des événements privilégiés, bien que l’acoustique soit passable dans cette sorte de gymnase.   Procol Harum - Gary Brooker - 30 septembre 1972 Ce samedi 30 septembre 1972, Procol Harum est accompagné par un orchestre symphonique suisse. Gary Brooker, en veste militaire s’installe au piano. Nick Grabham (guitare, ex-Cochise) remplace Dave Ball parti fonder un groupe de blues. Sa six cordes n’est pas prépondérante face au duo Gary Brooker (piano, chant) et Chris Copping (orgue) qui crée la sonorité caractéristique de Procol Harum. Sans oublier le parolier Keith Reid. Les compositio...

7" part 3 - THE RUMBLERS : Boss (et la France)

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  Cette rubrique double sider 7’’ continue avec un single Cramps related. «  Boss  » a en effet servi de base à « Garbageman ». Contrairement aux deux précédents 7’’, les deux morceaux sont des originaux. Les Rumblers étaient un groupe surf / R’n’R plutôt instrumental, avec saxo (instrument qui leur a été inspiré par les Pastels), de Norwalk, en Californie. Il y a toutefois des vocaux sur certains morceaux dont la B side du single «  I Don’t Need You No More  », peut-être encore meilleure que la face A. Il s’agit de leur premier single, sorti en 1962, à la fois sur Downey et sur Dot, la même année. Ils avaient déboursé dix dollars pour le temps de studio avant que Downey, qui est aussi le nom d’une ville en Californie, décide de le sortir – hit local, # 1 cinq semaines consécutives à Fresno - et qu’il bénéficie ensuite d’une distribution nationale via Dot, les deux labels ayant passé un deal de distribution. Un peu comme Fortune, Downey était aussi un...

LE DISQUE DE LA SEMAINE