K comme Ben E. King , que j’ai découvert en 1979, parmi d’autres artistes R’n’B, grâce à la fois à Willy DeVille et à un pote médecin à Caen, avant de creuser avec les Drifters et leur premier chanteur, Clyde McPhatter, le tout rangé à la lettre K chez moi. Je l’ai déjà dit, Ben E. King est un de mes chanteurs préférés de tous les temps, celui des 60’s, parce qu’après (j’ai eu l’occasion de tout écouter), j’ai beaucoup de mal. Avec les albums disco des Staples, on peut quand même dire, il reste la voix de Mavis, là, même pas, c’est rédhibitoire. Benjamin Earl Nelson, de son vrai nom, a commencé sa carrière en 1958 en tant que second ténor du groupe doo wop The Five Crowns, avant que ceux-ci ne deviennent les Drifters (new Drifters, le manager des précédents ayant viré tous les membres du groupe), avec lesquels Ben E. King enregistrera treize morceaux dont onze aux lead vocals, dont les hits Save The Last Dance For Me (Doc Pomus & Mort Shuman), This Magic Moment et Dance Wi...