SOUVENIR, SOUVENIR : JOHNNY THUNDERS ET LES HEARTBREAKERS

Photo de Erica Echenberg

Le prix d'un "Live".

Au milieu des années 80 je m'occupe du service correspondance du magasin Juke Box et travaille aussi pour FGL (Eva, Lolita, Axe Killer puis Revenge, Mantra). J'écoute beaucoup Johnny Thunders et les Heartbreakers. J'ai complétement craqué sur le "Live At The Lyceum" publié par Revolver au Royaume Uni et Lolita en France. Un client de Juke Box, fan de Johnny T., fréquente le Gibus Club à Paris où l'ex-New York Dolls a ses habitudes. Je demande à ce client de contacter Johnny T. pour savoir s'il serait disposé à vendre un enregistrement de concert pour sortir un autre "Live" officiel et quel serait son prix. Je n'en reviens toujours pas de la réponse :


"Johnny ne veut pas d'argent. Il veut être payé en poudre !"

J'ai transmis cette réponse à J.M., mon patron à qui j'avais parlé du projet. Celui-ci n'a pas été surpris connaissant de réputation le personnage et l'affaire s'est arrêté là.

Bernard StG44 Masanès

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