DISCOTHÈQUE FROM A TO Z & BACK AGAIN – Part 13 – lettre J
J comme… Il y a un tas de Jacksons, Jaguars, James,
Jesters, quelques Jesus, non un seul, j’élimine Jesus Jones, la pire première
partie des Cramps que j’ai vue, et Jesus & The Groupies, rangé avec Thee
Butchers Orchestra, des Johnny aussi (non, je vous vois venir), pas mal de
Johnson, de Jones aussi.
Après avoir
évoqué mon choix, je commencerai par tous ces Jacksons etc, avant les listes
habituelles, qui seront d’autant plus courtes. J’allais oublier le traditionnel
groupe que je n’apprécie pas : Judas Priest (L'Archiviste : il est commun de ne pas apprécier Judas quand on aime autant de Jesus, Patrick 😉).
Mon choix,
donc, c’est Cordell Jackson, pas tant ses rares disques en solo, mais plutôt
en tant que songwriter – Dateless Night, She’s The On That’s Got It… /
productrice / créatrice du studio et label associé Moon Records, à Memphis.
Respect.
Les Jackson,
donc, à part Cordell, et par ordre de préférence, J.J. Jackson, dont les
Cramps reprenaient parfois live (1983-84) Oo-Ma Liddi, un morceau R’n’B
/ doo wop de 1961 écrit par Hank Blackman, qui reprendra son morceau sous le
nom de Itchy Koo l’année suivante. Les autres morceaux de J.J. Jackson
sont plus classiques. Ah si, quand même il a quand même co-écrit Come See Me
pour les Pretty Things (1966) et a repris le morceau l’année suivante,
avant Little Bob, donc. Son autre morceau le plus connu : But It’s
Alright. Le soulman George J. composait la majorité de ses morceaux,
il en a également écrit pour James Brown, Candi Staton, Wilson Pickett et même Bob
Seger (Old Time R’n’R, c’est de lui) et en a aussi repris plusieurs de Dan
Penn, composant tous les deux pour le studio Fame. Les quatre autres Jackson
sont ex-aequo, honneur à la dame, la queen of rockabilly, Wanda J, qui
continue à sortir des albums, sur Heart Trouble, 2003, elle avait Lux et
Ivy comme invités, qui sont par ailleurs particulièrement friands de son single
Funnel Of Love (1961). En revanche le soulman Chuck J, un des
premiers artistes à avoir été produits par Burt Bacharach, est mort il y a deux
ans (février 2023), après une brillante carrière sur Wand puis Tamla Motown.
Ralph Soul Jackson est moins connu, un seul album tardif et quelques
singles 60’s dont le plus connu est sa reprise (parmi des centaines) de Sunshine
Of Your Love, de Cream, avec en face B ‘Cause I Love You, un morceau de Dan
Penn destiné initialement à Roy Head. Le dernier, George Jackson, est surtout
intéressant pour ses sessions à Muscle Shoals, quelques singles seulement
sortis à l’époque, puis deux compiles copieuses.
On passe aux
Jaguars, dont j’ai renoncé à comptabiliser le nombre. J’en ai trois dans
ma collection, les deux premiers faisant partie des Lux & Ivy’s
faves : les américains R’n’R 50’s avec leur premier single (sur quatre) Jaguar
/ Roundabout (1959) et les anglais beat / surf – leur seul single s’appelle
d’ailleurs The Beat – dont faisait partie Dave Mason (Traffic). Les
derniers, garage 60’s, sont du Michigan, un seul single aussi, It's Gonna Be
Alright (1966), morceau qui a dû à mon avis influencer le son des Gories.
Chez les James,
je choisis en priorité Betty, trois singles géniaux de R’n’B (ou blues
électrique) sur le label Chess, I’m A Little Mixed Up (1961), qui a été
repris par Tav Falco, suivi l’année d’après par I’m Not Mixed Up Anymore,
puis par I Like The Way You Walk. Des must have, comme on dit. Par ordre
de prénom, il y a aussi Elmore, cher à Brian Jones, Etta pour laquelle
Dan Penn a composé plusieurs chansons, le touche à tout Mark – swamp / R’n’R – Suspicious
Minds produit par Chips Moman…Soul / R’n’B toujours avec les James Boys –
surtout leur premier single The Horse / The Mule (1968). Dernier James, Tommy
James & The Shondells, avec Hanky Panky (morceau des Raindrops
d’Ellie Greenwich, faut-il le rappeler, repris notamment par les Cramps),
d’abord sorti sous le nom The Shondells (1962) avant d’être un succès deux ans
plus tard, le premier parmi d’autre : Mony Mony, Crimson & Clover,…,
le tout géré par la mafia.
Des Jesters,
les plus anciens sont doo wop et partagent l’un des premiers albums du genre
(1959) avec les Paragons, d’autres New Yorkais, le premier disque acheté par Martin
Rev, de Suicide, dont la bio est épatante et instructive, niveau doo wop et autres. Les Jesters surf / twist reprenaient sur leur second single Peter
Gunn sous le nom de Peter Gunn Twist, une des meilleures versions
que je connaisse. Les derniers Jesters tout court étaient ceux de Cadillac Man,
featuring le fils de Sam Phillips, dernière sortie sur Sun aussi (1966). Les Jesters
Of Newport sont devenus connus grâce à leur reprise de Stormy par
les Gories pour certains, par Back From The Grave (Vol 5) pour d’autres.
Je ne sais pas combien d’exemplaires ont été pressés, mais j’en ai vu une
trentaine d’exemplaires chez un ami.
Les Johnny à
suivre sont tous des Johnny & … The Hurricanes, par exemple,
avec Minnesota Fats (1962), un de leur nombreux singles R’n’R instro,
dont le mec de la boutique belge où j’ai acheté ce 7’’ m’a dit qu’il l’avait
aussi vendu aux Cramps, ça en fait donc un LAIF, non ? Tout comme Kee-Ro-Ryin’
du couple J & Jonie, leur premier single, 1958, du country
rock déjanté. À nouveau du R’n’R avec J & The Debonaires et
le craquant The Bone Cracker (désolé), leur seul single, 1961. Les deux
derniers sont plus récents, J.J. & The Hitmen dont j’ai eu l’occasion
récemment de réécouter le premier album R’n’R / rockab Nuclear Hayride
(1985) et J & The Jumper Cables, un groupe dans lequel officiait Kenne
Highland, trois singles à leur actif, j’ai le deuxième, Total Depravity
(1990).
Les Johnson(s),
c’est surtout du blues ou de la soul R’n’B. Robert, bien sûr avec son
album King Of The Delta Blues Singers. Pas tout jeune non plus, Lonnie,
avec Tomorrow Night, un LAIF, 78 RPM de 1948. Pour la soul 60-70’s, il y
a Syl, le coffret 6 LP’s + 4 CD’s de 2010, The Complete Mythology,
plus quelques singles comme Take Me To The River, qui ne figure pas dans
le coffret, version aussi bonne que celle de son compatriote Al Green, et Little
Sally Walker, que Tav Falco reprenait parfois live et parce qu’il faut
écouter ça sur 7’’. Lou n’a lui sorti que deux albums de soul New
Orleans. Je mentionnais Tav Falco, le Panther Burn Ross J. a sorti quelques
singles, un album avec Jeffrey Evans et il faut aussi avoir la compile Make
It Stop! The Most Of Ross Johnson.
Dans la
famille Jones, il y a des LAIF - Jim J. & The Chaunteys
avec Kiwi Boogie (1964), le premier de leurs huit singles garage et
Spike avec Chloe, une novelty de 1945. Un Dan Penn songwriter aussi :
Mathilda, son premier single en 1973. Corky – il s’agit en fait du pseudo de
Buck Owens, n’a sorti qu’un single rockab en 1956, Hot Dog. George Jones
est davantage country rock, quelques superbes morceaux, dont White Lighnin’
qui donne aussi son nom à une compile 10’’ sortie en 1979 sur Ace Records. De
la soul, avec Jimmy (le père), Gloria, la créatrice de Tainted
Love et compagne de Marc Bolan (c’est elle qui conduisait la Mini…), Linda
avec son premier album et EP français, Hypnotized (1967), Grace, dont
j’aime bien la reprise de Love Is The Drug de Roxy Music et Tom, le
chanteur favori de Gildas. Je finis par The Jones, les parisiens, qui servent
parfois de backing band à Chris Wilson ou à Willie Alexander. Je n’ai pas cité
Jim J. Revue, me reprocherez-vous sûrement.
Déjà
plusieurs Lux & Ivy’s faves cités, je continue la liste, que du
R’n’R : Jan & Arnie (deux mecs) avec leur 1er single
(1958) Jenny Lee, Roland Janes, la légende de Memphis, avec son
seul single (mal orthographié James), Guitarville (1959), autre
instrumental et seul single, Unitar Rock de Willie Joe & His Unitar (1956),
la novelty Who Me? (yeah, you!), le seul et génial single (B side) des
Jet Streams (1958). Le premier single des Jaynetts, Sally Go
Round The Roses (1963), repris par Tav Falco, un morceau arrangé par le
pianiste Artie Butler, qui s’est par la suite occupé de l’arrangement des
morceaux des Shangri-Las. Le Tornado des Jiants (seul single,
1959), n’est pas le même que celui de Dale Hawkins. Lux et Ivy aimaient aussi Why
Did You Leave Me?, le premier single de Lou Josie (1958). Jivin’ Gene
seulement deux singles en 1957, dont Up Up And Away, que du bonheur
(encore une expression…). John & Jackie n’ont sorti qu’un single en
1958, Little Girl / The Raging Sea, signés Gene Maltais – qui est en
fait le John du 7’’, Little Girl étant une sorte de Je T’Aime, Moi
Non Plus, encore plus explicite.
Pas un LAIF, mais sur leur EP Wired (2004), Jack O Fire, devenus
ensuite Lord High Fixers, reprennent Under The Wire, extrait du 2ème
album des Cramps. De leur côté, les Cramps ont repris How Come You Do Me?,
le premier single de Junior Thompson (1956) sur leur album Flame Job
(1994), et se sont inspirés de Louisville Lodge Meeting de Louis
Jordan (1952) pour composer Thee Most Exalted Potentate Of Love. Marc
Zermati racontait qu’il ne partait jamais en vacances sans des albums de Louis
Jordan sous la main.
Il y a
quelques français à la lettre J : je ne sais pas si je préfère Jad
Wio ou Jellyfuzz, des brestois qui se sont sabordés après deux
albums suite à la mort d’un des membres du groupe. Leur deuxième album, A
Barbecue With Elvis (2008), est particulièrement génial. De Jad Wio, j’ai
un faible pour l’album Contact (1989). J’avais adoré Sick Of You,
le premier album de J.C. Satan (2010), j’ai moins aimé la suite. Des Juanitos,
groupe boogaloo soul exotica de Chambéry, j’ai revendu les albums mais j’ai
gardé les deux premiers EP’s truffés de reprises inspirées des Sparkles, Link
Wray, des Isley Brothers et des Crazy Teens (Crazy Date). Piero a un
beau palmarès en tant que membre des Mighty Go-Go Players, Fatals et Kung-Fu
Escalator, j’ai moins aimé ses Jack Of Heart, malgré une bonne reprise de Primitive
des Groupies / Cramps, un morceau que reprennent aussi, avec du sax, les
Screamin’ Monkeys.
Dan Penn
songwriter, pour
Janis Joplin, A Woman Left Lonely (maquette finie au téléphone par Dan
& Spooner Oldham) morceau qui se trouve sur l’album Pearl (1971),
sorti format single uniquement au Brésil. Jerry Jaye était un chanteur
rockabilly mais avec Love Is A Job (1971), on est davantage dans la
soul. Come On, ils ont rajouté (Children) est un morceau version garage
par les Jayhawkers (1967), avec A certain Girl d’Allen Toussaint
(sous pseudo) en B side. Unfortunately avait été composé dans les 60’s
pour Jackie Weaver, il faudra attendre 2012 pour écouter ce morceau (Rare &
Unissued Fame Vol. 2). Betty Joplin se contente de reprendre The Dark End Of
The Street sur le premier de ses deux albums, tout comme le folk
rock Al Jordan, qui a aussi repris Tear Joint sur un autre single,
toujours en 1975. Jimmy James & The Vagabonds et The Jalopy Five
reprenaient tous les deux, et en 1968, Cry Like A Baby. Sonny James
& The Southern Gentlemen ont repris I’ll Take care Of You (LP de
1967) et la première version de Blue Motel se trouve sur un album de
démos de Tommy Lee Jackson.
Je vais
rapidement évoquer les autres artistes soul etc et R’n’R etc qui m’intéressent
(j’en ai à coup sûr d’autres à découvrir) avant de finir avec les non genrés
selon mes critères.
Soul etc non encore cités : je commence,
comme d’habitude, par du doo wop, avec Stranded In The Jungle par les Jayhawks
(1956), c’est l’original de ce morceau plus connu par les Cadets et repris
par les New York Dolls. Stronger Than Dirt (pas le morceau de Tommy
Burke de 1965 repris notamment par les Mummies) est le premier single de Jay
& The Techniques (1967). Il n’existe qu’un seul single d’Eugene Jefferson
& Rolling Bones Band (1965) que j’ai dû acheter à l’époque (80’s) pour son
titre, Let’s Hunch. Le quatrième et dernier single de Duke Jenkins
est un dancefloor killer (je ne m’imaginais pas écrire ça un jour, j’essaye de
varier (L'Archiviste : il me tarde le jour ou pour varier tu parleras bien de la power pop!)) nommé Shake It, sorti en 1957. Il existe des soul Jet Stream
(sans s à la fin). The Jive Five ont sorti pas mal de disques. Margie Joseph
avait fait impression avec son premier album en 1971, MJ Makes A New
Impression (désolé, encore), pas forcément confirmée ensuite. Parmi les
artistes plus récents, Valerie June, de Memphis, constitue une bonne (moitié
de) surprise.
R’n’R etc non encore cités : les surfin’ Jades
ont sorti deux singles extra en 1964, réédités sous la forme d’un EP par Norton
en 2006. Surf encore avec Jan & Dean, qui a mon avis ont happé le public
facile, pop surf donc, pas moi, sans être élitiste, j’espère. Il est inutile de
présenter Mr Raunchy (1957), Bill Justis. Benny Joy, Mr
Crash The Party a sorti sept singles entre 1957 et 1963, puis de nombreux
autres et des compiles, la plupart sur Norton, dont un single accompagné par
les A-Bones, justement. Je n’ai trouvé aucune info sur Jim & The Invictas (de
Milwaukee, pas ceux de Rochester), un seul EP sorti en 1981, probablement
enregistré durant les 60’s, avec Memphis de Chuck Berry, Cotton
Pickin’ des Night Raiders et une compo originale.
Les autres,
pour finir. Je dois avoir à peu près tout de The Jesus & Mary Chain,
que j’ai failli mettre en vedette de la lettre J, dont les projets solos des
deux frères Reid – Lazycame, Freeheat. En plus de Blacktop, The Red Devils,
Fireworks et ’68 Comeback, Darin Lin Wood a fait partie de Jackknife,
dont j’aime particulièrement le dernier 7’’ garage blues All My Blues For
Sale (1994). Garage toujours, par chronologie, Jerry & The Landsliders
avec leur désopilant et unique single (1965) Get Off Of My Roof, une
parodie de Get Off Of My Cloud de qui vous savez. Le one man band Skip Jensen
& His Shakin' Feet a sorti plusieurs singles intéressants au début des
années 2000, mais pas autant que Jumpin’ Beans & The Mustaches, ou avec
Willie. Je pense qu’on peut dire des écossais JC’s qu’ils étaient garage, un
seul disque (autoproduit), Punk Rock Karaoke (2004), sous-titré PB
Session (ils ont repris des morceaux que j’aime bien, Cramps, Stooges, …). L’ovni
J.T. IV (John Henry Timmis IV), c’est plutôt du punk glam, lui
qualifiant sa musique de destructo rock, a sorti, dans les années 80,
quatre singles et un LP (réédité depuis) qui valent désormais une fortune – il
donnait tous ses disques, ne voulant pas avoir de succès commercial. Ses
enregistrements postérieurs, retrouvés sur cassettes – la plupart des
originaux, quelques reprises fabuleuses du Velvet, Kinks et Roxy Music – sont
sortis format double LP titré The Future. C’était un savant diagnostiqué
psychopathe, il est mort en 2002. Autre ovni musical, Daniel Johnston,
dont je n’ai malheureusement pas, pour ma part, retrouvé dans les disques,
l’ambiance géniale de son univers que j’avais découvert lors d’un show au
festival d’Évreux en 2003, je crois bien que c’est la première fois que je dis
du bien de mon ancien bled (L'Archiviste : encore des variations 😁!). J’ai vendu mes albums de Jam, n’ai gardé que
quelques singles, un seul de Joy Division, dont j’aurai dû garder le 7’’ sur Sordide
Sentimental qui se vend aujourd’hui entre 2 000 et 3 000 € (de
mémoire j’ai échangé le mien pour 1 200 F, soit moins de 200 € au
milieu des années 90, pas grave). Un seul single aussi de Jazz Butcher, pour la
reprise de Roadrunner des Modern Lovers. Je ne garde pas non plus un
grand souvenir des country rock Jayhawks. Playtime (1990), le seul album
de Mark Jeffrey, après Band Of Outsiders (revendus, ainsi que les Phil
Gammage), a le mérite de comporter de bonnes reprises. The Jynx (pas les
anglais) est le premier groupe du Big Star Chris Bell, milieu des années 60. Un
10’’ quatre titres Greatest Hits! est sorti sur Norton en 2000.
Uniquement des reprises : Van Morrison, James Brown, Paul Revere & The
Raiders et Moody Blues.
PB
*
Gérard ajoute les artistes suivants !
-JACK & THE BEANSTALK (groupe power pop australien)
-JAM
-JAYHAWKS
-JELLYFISH
-JERICHO (groupe power pop australien)
-Brad JONES (musicien et producteur us)
-Damien JURADO
-Joe JACKSON
-JASON & THE SCORCHERS
Jean-Jacques (L'Archiviste : Vas y J.J., lâches toi, c'est ta lettre !) complète et ajoute:
J.J. & The Real Jerks: Groupe de Los Angeles entre punk et power pop. Disque conseillé: Lost Souls Pub Have A Few Pints (2023). J.J. correspond à Joe Jennings également connu pour son dernier groupe Joe Jennings MVP's. Disque conseillé: Nothing Wrong About Giving Up (2024).
Christophe J: Chanteur de power pop/pub rock français. Disque conseillé: Sons Of Waterloo sur lequel figurent une partie des Inmates (1992).
The Jack Cades: Groupe de garage rock britannique. Disque conseillé: Something New (2023).
Jack Rabbit Slim: Groupe de rockabilly britannique. Disque conseillé: Beat It Creep (2023).
The Jack Rubies: Groupe de rock alternatif anglais. Disque conseillé: Clocks Are Out Of Time (2024).
The Jackets: Groupe de garage punk suisse. Disque conseillé: Intuition (2024).
The Jacks: Groupe de power pop de Tulsa, Oklahoma. Disque conseillé: Make 'em Cry (2021).
Jade Jackson: Compositrice interprète de rock d'inspiration country californienne. Disque conseillé: Wilderness (2019).
Walter Jackson: Chanteur de soul américain des années 60 aux années 80. Disques conseillés: It's All Over: The OKeh Recordings Vol 1 (2006), Welcome Home (The Okeh Recordings, Vol. 2) (2006).
The Jacobites: Groupe de rock britannique associant Nikki Sudden et Dave Kusworth. Disque conseillé: Robespierre's Velvet Basement (1985).
The Jags: Groupe britannique power pop / mod revival. Disque conseillé: The Best Of (2006).
Danny James: Guitariste, chanteur de swamp/blues/blue eye soul de Louisiane. Disque conseillé: Boogie In The Mud (1996).
Ed James: Songwriter power pop/ rock américain. Disque conseillé: ...In The 21st Century (2006).
Teresa James (& The Rhythm Tramps): Chanteuse américaine de blues/R&B. Disques conseillés: Rose-Colored Glasses, Vol. 1 (2021) et Vol. 2 (2023).
Jarvis Humby: Groupe britannique de rock/beat. Disque conseillé: Straighten Your Mind With...(2020).
The Jasmine Minks: Groupe de rock indé écossais. Disque conseillé: Cut Me Deep: The Anthology 1984-2014 (2014).
Ray Jaurique: Chanteur, guitariste de blues, R&B et soul californien. Disque conseillé: Soul Remedy (2021).
The Jaybirds: Groupe de rock garage/ beat/ R&B autrichien. Disque conseillé: Teen Trash Vol; 13 (1994). A ne pas confondre avec les Jaybirds d'Alvin Lee.
The Jayhawks: Groupe de country rock alternatif américain. Disque conseillé: Hollywood Town Hall (1992).
Jeanines: Duo rock / jangle pop de New York. Disque conseillé: Don't Wait For A Sign (2022).
Garland Jeffreys: Chanteur américain de rock teinté de soul, reggae et R&B. Disque conseillé: I'm Alive (2006).
The Jekylls: Groupe de rock garage français. Disque conseillé: The Last Pterodactyl Wild Quest (1995).
Jelly Roll Kings: Groupe de blues américain associant notamment Sam Carr et Frank Frost. Disque conseillé: Off Yonder Wall (1997).
The Jellybricks: Groupe de rock/ power pop de Pennsylvanie. Disque conseillé: Dreaming In Stereo (2025).
Diane Jenkins: Chanteuse de soul / funk américaine. Disque conseillé: I'm A Woman: The Complete Singles (2023).
John Jenkins: Chanteur de rock / pop de Liverpool. Disque conseillé: Tuebrook (2023).
Johnny Jenkins: Guitariste, chanteur de blues, R&B, soul américain. Disque conseillé: Ton-Ton Macoute (1970) avec entre autres Duane Allman à la guitare.
The Jenkinses: Groupe belge de rock à haute énergie. Disque conseillé: Miracle Reasoning (2024).
Shooter Jennings: Chanteur, songwriter de country outlaw. Disque conseillé: Shooter (2018).
Jeremy: Chanteur, compositeur de power pop américain/ Disque conseillé: Footpints (2024).
Jeremy & The Harlequins: Groupe de rock new-york d'inspiration 50's. Disque conseillé: Into The Light (2016).
The Jerry Spider Gang: Groupe français de punk rock. Disque conseillé: Dope Takin' Kamikazes (2000).
Jesus Volt: Groupe français de blues. Disque conseillé: Always Drunk Never Sad (2000).
The Jet Boys: Voir Freddy Lynxx.
The Jetz: Groupe anglais de glam/punk rock. Disque conseillé: The Anthology 1977-79 (2011).
Eilen Jewell: Chanteuse, compositrice de blues / R&B originaire de l'Idaho. Disque conseillé: Down Hearted Blues (2017).
Cody Jinks: Auteur, chanteur de country outlaw texan. Disque conseillé: Change The Game
John The Revelator: Groupe de blues néerlandais. Disque conseillé: Where Are You? 55th Anniversary Compilation (2023).
The Johnnys: Groupe de cowpunk australien. Disque conseillé: Grown Up Wrong (1988).
Evan Johns: Guitariste, chanteur, installé au Texas. Disque conseillé: Bombs Away (1989).
Jimmy Johnson: Guitariste, chanteur de blues américain. Disque conseillé: I'm A Jockey (1994).
Johnnie Johnson: Pianiste, chanteur de R&B / rock'n'roll, pianiste originel de Chuck Berry. Disque conseillé: Johnnie B. Bad (1991)
Johnny Johnson & The Bandwagon: Groupe de soul américain. Disque conseillé: Breakin' Down The Walls Of Heartache: The Best Of Johnny Johnson & The Bandwagon 1968-1975 (2008).
Mark Johnson (aka Marc Jonson): Chanteur, compositeur américain de power pop. Disque conseillé: 12 In A Room (1992).
Roy Lee Johnson: Chanteur, compositeur, guitariste de soul et R&B américain des années 60, ancien chanteur de Dr. Feelgood & The Interns. Disque conseillé: Roy Lee Johnson, Curtis Smith – When A Guitar Plays The Blues (2009).
Freedy Johnston: Chanteur, songwriter folk, country rock du Kansas. Disque conseillé: Back On The Road To You (2022).
The Jolt: Groupe mod/punk/new wave écossais. Disque conseillé: The Jolt (1978).
Robert Jon & The Wreck: Groupe de blues rock, rock sudiste californien. Disque conseillé: Shine A Light On Me Brother (2021).
The Jones: Groupe français de R&B, pub rock. Disque conseillé: First Shot (2015).
Durand Jones (& The Indications): Artiste et groupe de soul américain. Disque conseillé: Private Space (2021).
Jeanette Jones: Chanteuse soul californienne de la fin des années 60. Disque conseillé: Dreams All Come True (2016).
Jordan Jones: Chanteur, songwriter power pop de Los Angeles. Disque conseillé: And I, You (2024).
Thelma Jones: Chanteuse de soul californienne des années 60 et 70. Disque conseillé: Second Chance - The Complete Barry & Columbia Recordings (2007).
Jibaros: Groupe espagnol de rock garage. Disque conseillé: De Mal En Peor (2025).
Jim Jones Allstars: J'aurais pu citer d'autres formations de Jim Jones mais j'ai une préférence ppur ce groupe influencé par le R&B tant britannique qu'américain. Disque conseillé: Ain't No Peril (2023).
JW Jones: Chanteur, compositeur canadien blues/R&B. Disque conseillé: High Temperature (2016).
Sharon Jones (& The Dap-Kings): Chanteuse et groupe de soul américaine. Disque conseillé:I Learned The Hard Way (2010).
The Joneses: Groupe glam rock californien: Disque conseillé: Keeping Up With The Joneses (1986).
Jonesy: Groupe canadien de glam rock. Disque conseillé: Jonesy (2018).
The Jook: Hasard du classement alphabétique: Troisième groupe glam rock, britannique et des 70's cette fois-ci. Disque conseillé: Different Class (compilation de 2005).
Jerry Joseph: Chanteur, compositeur, guitariste américain de rock alternatif. Disque conseillé: The Beautiful Madness (2020).
Jason Joshua: Chanteur, multi-instrumentiste, producteur de chicano soul. Disque conseillé: Jason Joshua & The Beholders – Alegria Y Tristeza (2020).
Benny Joy: Chanteur de rockabilly américain des 50's. Disque conseillé: Crash The Rockabilly Party (1998).
Joy Buzzer: Groupe de power pop new-yorkais. Disque conseillé: Pleased To Meet You (2024).
Bruce Joyner: Chanteur, compositeur de rock originaire de Géorgie (USA) malheureusement décédé en mars 2025. Disque conseillé: Bruce Joyner And Atomic Clock – The Devil Is Beating His Wife (2014). A l'origine chanteur des Unknowns (voir ce nom). Je vous propose de lui rendre hommage avec cette vidéo:
Judah The Band: Groupe américain de rock bluesy. Disque conseillé: On The Incline (2022).
The Juke Joint Pimps: Duo de blues vintage allemand. Disque conseillé: Boogie The Church Down (2011).
The Juke Joints: Groupe de blues néerlandais. Disque conseillé: Live - 35 Years Of Rock Rollin Blues (2018).
The Jukeez: Groupe de rock garage canadien. Disque conseillé: More Fuzz ! (2022).
Don Julian & The Larks: Groupe de soul californien des années 60's/70's. Disque conseillé: The Jerk-The Money Recordings (compilation de 2002).
The Jungle Tigers: Double amical clin d'oeil. Le premier à Patrick, l'ardent et infatigable animateur de cette rubrique avec le titre du disque choisi, le second pour l'archiviste, l'âme indispensable du blog puisqu'il s'agit d'un groupe de rockabilly allemand (L'Archiviste : Merci J.J., ich habe dich liebe !). Disque conseillé: Goo Goo Muck (2007).
Juniper: Chanteuse, compositrice de pop du New Jersey. Disque conseillé: She Steals Candy (2023).
The Junipers: Groupe de pop rock psychédélique britannique. Disque conseillé Imaginary Friends (2024).
The Junior League: Pseudonyme de groupe pour Joe Adragna, compositeur, chanteur, multi-instrumentiste, producteur de power pop. Disque conseillé: Our Broadcast day (2024).
Jupiter 5: Groupe de rock à guitares de Sidney (pléonasme ?). Disque conseillé : 5th From The Sun (2024).
Mickey Jupp: Chanteur, guitariste et compositeur de (pub) rock. Il est surtout connu pour ses titres emblématiques du pub rock au répertoire de multiples artistes (Down At The Doctors, Swtichboard Susan, Cheque Book pour n'en citer que trois). Sa grande discrétion empêche la reconnaisance que mérite sa carrière solo comme le démontre la compilation Kiss Me Quick Squeeze Me Slow: The Collection (2014). Un hommage mérité avec cette vidéo:
Justine and The Unclean: Groupe de rock bostonien de la regrettée car décédée en 2023. Justine Covault, chanteuse, compositrice et responsable de la remarquable maison de disques Red On Red. Disque conseillé: The Signal Light (2023). Je conseille également le disque en forme d'hommage postume que lui a rendu Tom Baker avec Justine And Me (2024).
L'Archiviste ajoute :
Un peu de krautrock pour débuter, Jane fut un bon groupe Allemand que Patrick devrait détester. De l'orgue, du rock, une guitare lourde et plein de solos ... Hanovre ne nous a pas apporté que les Scorpions. Le morceau qui suit est de 1972.
Personne n'a parlé du J. Geils Band, le groupe a quand même eu son importance. Jane's Addiction et ses deux premiers LPs accompagnent certaines de mes heures d'écoutes musicales tout Jean-Michel Jarre et ses concerts fabuleux ... Vous rappelez-vous de Houston ? Vous aimez les lapins blancs ? Eh bien Jefferson Airplane aussi, ce simple est excellent. Eh Patrick dans les Johnnys tu as oublié Cash, non ?
Pour moi, JOY DIVISION est le premier groupe en J !
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