IAN KAY - INTERVIEW : "si je devais me faire tatouer, y aurait une pochette de Back From The Grave, la tronche de Keith Moon, et Fritz The Cat."
Lors du dernier Garageville Festival à Hambourg, Il fut le deuxième jour la tête d'affiche. Je ne connaissais pas sa musique et avais prévu de le regarder jouer 3/4 morceaux avant de partir. Ian Kay m'a cloué ce soir-là, il fut le meilleur artiste de la journée et j'ai regardé son concert jusqu'au dernier morceau. Présenté sur l'affiche comme un artiste espagnol, je fus très surpris d'apprendre qu'il est français en lui demandant de l'interviewer. Ton histoire musicale personnelle commence à ma connaissance avec les Greedy Bastards et les Cortona à Lyon. Tu joues de la batterie et du punk. Est-ce-que cette musique t'a bercé dans ton enfance grâce à ton père ? Tout à fait ! Les Greedy Bastards était mon premier groupe de lycée (reprises des Ramones, Sex Pistols, puis Johnny Thunders, Flamin’ Groovies, The Senders…), dans lequel j’ai commencé à la batterie, pour passer finalement à la guitare/chant, avec mon père derrière la batterie. Cortona , e