Articles

Affichage des articles associés au libellé PROTO PUNK

DAY BY DAY - THE DICTATORS - 1 - THE NEXT BIG THING

Image
STEVE VAN ZANDT a dit d’eux « Ils sont le chaînon manquant entre les MC5, les STOOGES, les DOLLS … et l’explosion Punk de la fin des années 70 ». On peut également les trouver dans le muséum du ROCK AND ROLL HALL OF FAME, bienvenu à THE DICTATORS sur LES MONSTRES (SACRÉS) DE LA MUSIQUE ÉLECTRIQUE! C’est l’histoire d’un groupe de potes durant les années 60. Le premier se nomme RICHARD BLUM parfois aussi RICHIE ou au tout début RICHIE « CHINA CAT » BLUM plus tard HANDSOME DICK (ou RICHARD) MANITOBA. ce jeune homme découvre le rock, comme beaucoup de jeunes Américains de l’époque, avec le passage TV des BEATLES au ED SULLIVAN SHOW. C’est un fou furieux qui ne tient pas en place. Il est ami depuis ses 10 ans avec SCOTT « TOP TEN » KEMPNER, un guitariste ne jouant que dans sa chambre. Les deux autres sont ANDY et ROSS. ANDY (ADNY) SHERNOFF est plutôt inspiré par BRIAN WILSON et RAY DAVIS. Le premier solo à la guitare qu’il maitrise est celui de FIXING A HOLE des BEATLES. Il va à la même éc

THE DICTATORS .............HOMMAGE A SCOTT KEMPNER

Image
  Nous sortons d'une semaine dure pour la musique. Shane MacGowan , Geordie Walker de Killing Joke et Scott Kempner des Dictators nous ont quittés. Fernand vous a parlé du leader des Pogues hier. Nous avions fait paraitre un Fan Club des Killing Joke il y a quelques mois de cela. Nous vous invitons à lire ou relire notre dossier consacré aux Dictators et à Scott Kempner.  R. I. P.  VOICI LES LIENS : 1 - THE NEXT BIG THING 2 - ANDY SHERNOFF INTERVIEW - TOUJOURS FAIRE DES TITRES D'ALBUMS SIMPLES 3 - HANDSOME DICK MANITOBA INTERVIEW - JE SUIS DEVENU CE QU'ILS APPELAIENT "L'ARME SECRÈTE" 4 - HANDSOME DICK MANITOBA INTERVIEW (SUITE) - AVEC MOI, C'ÉTAIT COMME SI LES GENS DEVENAIENT FOUS 5 - HANDSOME DICK MANITOBA INTERVIEW (FIN) - THE UNIVERSE AS TOLD BY HANDSOME DICK MANITOBA 6 - THE SOUND OF NOW #31 - THE DICTATORS

BACK IN THE DAY - THE KIDS - REAL KIDS

Image
THE REAL KIDS: November 1974 demos / Spring 1977 demos (Crypt 2018 CD/LP) (Boston, USA) John Felice (guitare, chant)  Billy Borgioli (guitare, chant) Curtis Naihersey (guitare, chant)  Allen "Alpo" Polino (basse) Jeff Jensen (basse) Howie Ferguson (batterie) Kevin Glasheen (batterie)  Jacques_B vous en parlait dans Boston City Limits , après un concert en ouverture des New York Dolls , John Felice quitte les Modern Lovers pour former The Kids avec l'ambition de jouer la même musique que les new-yorkais. En 2018, Crypt a la très bonne idée de sortir 8 démos inédites des Kids  enregistrées en novembre 1974 dans leur local de répétition (la cave d'une église). La cassette doit servir à démarcher les clubs et les bars pour y faire des concerts, la prise  de son est rudimentaire, le groupe est enregistré  live sur un magnéto deux pistes  et la bande est ensuite éditée en studio. On y entend une jeune formation pleine de fougue, vraiment puissante, alors qu'elle n

SAN FRANCISCO'S STILL DOOMED : le Punk à San Francisco de 1973 à 1977

Image
Design James Stark On le sait, aujourd'hui, le CBGB's et Richard Hell n'ont pas l'exclusivité de l'éclosion du Punk, phénomène apparu  en même temps   un peu partout à travers le monde, notamment sur la côte ouest des USA. San Francisco, début des 70's. Comme ailleurs, des jeunes fans de Rock s'ennuient, les groupes de stades et leurs chansons de 10 minutes ne correspondent pas à ce qu'ils attendent et leurs héros passés ont soit disparu, soit adopté un style musical qui ne leur convient plus.  The Tubes se forment en mars 1972, leur Glam légèrement « décadent » attire un certain public en manque de Rock N'Roll mais de l'aveu de Jeff Olener ( The Nuns ), ils ne sont pas assez progressistes et il manque une vraie scène Rock à San Francisco avec de vrais groupes du genre. En 1973, Danny Sego, Bob Banks et Bob Moselle montent  La Rue  (un nom pensé pour montrer "la voie" à suivre). Ils louent un entrepôt sur Folsom Street pour y répéter e

BOSTON CITY LIMITS #2: The MODERN LOVERS

Image
        En avril 75, John Cale joue au Bataclan à Paris, accompagné par Chris Spedding à la guitare. C’est sa période Island Records après Fear et Slow Dazzle. Vers la fin du concert, Cale, lunettes noires et air sombre, explique depuis son piano qu’il va interpréter une chanson d’un groupe avec lequel il a travaillé, the Modern Lovers . Il s’agit de Pablo Picasso . C’est ma première confrontation avec un titre de ce groupe, une musique inhabituelle, des paroles étonnantes ( Pablo Picasso n’a jamais été appelé un trouduc et quand il longe l’avenue au volant de sa Cadillac Eldorado, les filles deviennent vertes comme des avocats … ) qui donnent envie d’en entendre plus. Mais le groupe n’existe déjà plus et il faudra attendre 1976 pour découvrir son premier album mythique. L ’ histoire des Modern Lovers peut se résumer comme celle d’un malentendu entre un jeune homme tourmenté et quatre musiciens ambitieux qui croyaient en l’avenir de leur groupe. Tout commence à Natick, Massachusset