BILLET D'HUMEUR - REPLAY NEW ROSE FOR ME
Nous avons reçu ce message de Patrick, nous le précisons continuellement dans les Monstres Sacrés, ici chacun a la parole. Nous attendons vos commentaires et les prochains billets d'humeur. Laissons maintenant la parole à Patrick :
REPLAY NEW ROSE FOR ME
Pas du tout d'accord avec ce billet d'humeur frustré !!!!
Je suis tombé sur la cagnotte Ulule en traînant sur Facebook, et j'ai immédiatement passé commande, sans me demander combien il y aurait d'exemplaires...
Comme pour les
éditions vinyle aujourd'hui... 1st arrived 1st served... Je n'ai pas
l'impression de faire partie d'une caste de happy fews...
Je ne vois pas là-dedans d'intentions mercantiles....55 balles le
bouquin, édité quasi à compte d'auteur, c'est raisonnable....
Les expos sont gratuites, le concert d'hier l'était aussi !!! (NdB: New Rose Party, Rouen 25.11.2022). Et il restait quelques exemplaires du bouquin sur les stands.... L'ouvrage est magnifique, et je suis content d'avoir pu le faire dédicacer hier soir par quelques protagonistes de l'aventure....
Pour le reste, ouvrez vos oreilles, branchez vos guitares et prenez du bon temps..... La soirée d'hier fut une cure de jouvence et l'occasion de retrouver des groupes et potes de concert, pas en happy few puisqu'il était encore possible de rentrer sans l'invitation prévue....
Patrick
Commentaires
Chacun est libre d’avoir son opinion sur la façon dont s’est déroulée la mise en vente du livre sur l’histoire du label/magasin New Rose. Personnellement, j’ai une vision « démocratique » du rock’n’roll et de tout ce qui l’entoure. Dans le cas présent, je ne crois pas que ce soit le cas. Le déroulement des opérations laisse en effet peu de doutes sur la volonté de satisfaire tous les fans. Tant pis pour les provinciaux résidant loin de Paris ou de la Normandie.
Si écrire tout cela c’est être frustré, alors … je vous laisse à votre réflexion réductrice.
Je reviendrai juste sur le fait que le 20/11 l’éditeur a précisé sur sa page FB : « tous les livres ont été vendus ». Or, d’après vous, des exemplaires se trouvaient à Rouen. Ce qui sous-entend que dans la semaine qui a précédé le concert, des visiteurs de l’expo n’ont pas pu l’acheter. Tout cela pour en laisser pour le 25 ? Sans commentaires. Justement, vers le 25, le fameux message sur FB a été effacé. Heureusement, j’en ai une copie, laquelle m’évite de penser que j’ai eu une hallucination. Finalement, tout cela est presque dramatiquement drôle.
Dans cet esprit « démocratique », je ne pense pas beaucoup de bien non plus des tirages limités de vinyles de plusieurs couleurs à 100 exemplaires. Quand ce n’est pas 72 copies comme je l’ai vu une fois sur bandcamp. 72 ? 72 copies, pas une de plus. La bêtise n’a pas de limite, mais bon, il y a pire dans ce monde, c’est vrai.
On ne se connaît pas disais-je. On ne s’est jamais parlé c’est sûr. Mais on se connaît de nom, tout du moins en ce qui me concerne. Frissons … 1986 … trois numéros que j’ai toujours – je n’ai pas les suivants, sûrement pas trouvés à l’époque -, des numéros dans lesquels a collaboré un certain Gildas Cosperec.
Dig It !, nous y voilà ! Un fanzine auquel je suis très content d’avoir apporté ma modeste contribution pendant quelques années. Justement, Dig It !, Gildas le voulait comme un moyen d’information mais aussi de propagation de la bonne parole. On y évoquait surtout l’actualité, le passé aussi. Un passé dont TOUT LE MONDE pouvait prendre connaissance. Comprenne qui voudra.