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Affichage des articles associés au libellé AFTER-PUNK

FAN CLUB - KILLING JOKE

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Nous avons toujours eu une passion pour le groupe Killing Joke, comme bon nombre de personnes nous l'avons perdu de vue, puis il est revenu à nous, car il est présent depuis plus de 40 années. Ce groupe traverse toutes les époques et ne fait partie d'aucune mode. Dimitroy va nous en parler, il a créé un des sites les plus intéressants qui lui soit consacré "KILLING JOKE CONCERTS 1979-1996" Tu as commencé le blog en 2016, d'où t'en est venu l'idée ? J'avais remarqué quelques années plutôt que le site officiel de Killing Joke proposait une gigographie, mais il était clair qu'elle était incomplète et de plus elle comportait pas mal d'erreurs (de date, de ville, de lieu…), cette liste est aussi visible sur le double cd No Way Out Forward Go , à l'époque, il se faisait encore des cd dit "enhanced" avec des petits bonus sur le cd-rom. Je voyais ces erreurs par rapports aux listes de K7 live du groupe. Comme, j'avais déjà fait un pe

ROCK LIBRARY - JON SAVAGE - ENGLAND'S DREAMING

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« ENGLAND'S DREAMING : LES SEX PISTOLS ET LE PUNK » Jon Savage.  (Allia. 2ème édition, août 2005) Jon Savage a vécu le mouvement punk côté anglais. En 1976, il crée le fanzine « London's Outrage », puis travaille pour les magazines Sounds et Melody Maker. Proche de Malcolm McLaren, manager des Sex Pistols , il côtoie le groupe et le punk dans son ensemble ce qui lui permet, 25 ans plus tard, d'écrire « England's Dreaming ». Si  Please Kill Me  peut sembler un peu beauf et indigeste, abordant le sujet avec un certain mépris pour les groupes britanniques, England's Dreaming  est bien plus riche et plus subtil.  L'ouvrage, passionnant, débute en Angleterre à la fin des années 60, après les Mods (dont il est toutefois question au tout début). Il présente les événements à venir à travers l'ouverture du magasin de Malcolm McLaren, ses aller-retours aux USA, les New York Dolls , le Max's Kansas City, le tout sur fond de vie politique et sociale.  Savage lais

FAN CLUB - DEAD BOYS

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C'est en recherchant des informations sur les enregistrements des Dead Boys que nous avons découvert le site "DEAD BOYS UNOFFICIAL WEBSITE" tenue par Sean Manton. L'occasion de débuter une rubrique sur les fanatiques de nos groupes préférés.  Si tu es aussi fan et/ou collectionneur, contacte-nous afin de parler de ta passion. Voici ce que Sean avait à nous raconter : Quand as-tu commencé ton site et comment t'en est venu l'idée ? J'ai commencé le site DEAD BOYS il y a environ 14 ans. Il y avait très peu d'informations sur le groupe sur Internet et je voulais partager des données avec d'autres personnes ainsi que trouver des contacts pour échanger des bootlegs du groupe. Comment les as-tu découverts ? J'étais un jeune adolescent en 1977 et j'écoutais les SEX PISTOLS , les CLASH et les DAMNED. J'avais également été initié à la musique des NEW YORK DOLLS , de JOHNNY THUNDERS et de l'album "Raw Power" d' IGGY & THE STO

HOT WAX - BOOTLEGS - L'INDUSTRIE PARALLELE

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  Bien qu'il soit à peu près certain que les premiers disques bootlegs sont apparus avant la fin des années 60, le terme pour les désigner est utilisé à partir de ce moment-là. Le premier 'bootleg' album serait donc Great White Wonder  de Bob Dylan , deux 33 tours emballés dans une pochette blanche, sans aucun titre, ni aucune référence de matrice. Les premiers exemplaires proposés aux disquaires de Los Angeles ont des labels Rocolion, mais les copies suivantes sont livrées avec labels vierges et les pochettes sont très vite tamponnées de trois lettres au recto: "G.W.W." pour Great White Wonder . Sortie en août 1969, cette « Grande Merveille Blanche » est suivie de près par Live R Than You'll Ever Be  des Rolling Stones qui voit le jour en décembre 69 et Flyer de Jimi Hendrix en avril 70.  "Flyer" de Jimi Hendrix. Pour commencer, précisons qu'un bootleg n'est pas un pirate et encore moins une contrefaçon.  Un pirate est une copie illégale