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Affichage des articles associés au libellé PROTO- PUNK

FRUIT TONES INTERVIEW - BUZZCOCKS ARE A BIG FRUIT TONES INFLUENCE

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FRUIT TONES have released their second studio album, PINK WAFER FACTORY, in november last year. Tom Harrison (guitar and vocals) answers our questions.  First of all, how did you come to Rock music ? What was the first time you enjoyed music and which band was it ?  The first music I ever bought was Pulp’s Common People single on cassette, I got into more rocking stuff through listening to my parents music collection, my Dad had a Sex Pistols CD that was probably my introduction to punk and my Uncle gave me his old records which had a lot of Velvet Underground, Beatles , Stones kind of stuff. An old man at a cafe I worked in on weekends saw me wearing a Rolling Stones t-shirt and gave me a load of the old blues stuff that influenced the Stones too so I started exploring all the roots of that sound as well. How old were you when you first played an instrument ? My Grandad had a piano/organ that I used to mess about on as a kid and I remember a small toy guitar as well but I couldn’

DAY BY DAY - DEAD BOYS

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Steven John Bator est originaire de Girard dans la banlieue de Youngstown, Ohio, une ville située à une centaine de kilomètres au sud de Cleveland. Au début des 70's, il chante dans un groupe appelé Mother Goose qui fait des reprises de garage rock 60's ainsi que des Stooges . Ses principales influences sont Alice Cooper et Iggy Pop . Après avoir joué uniquement dans des petits clubs et habité des petites villes, las, il part s'installer à Cleveland. En janvier 1975, il fait la connaissance de William James Wilden, un fan d' Iggy & the Stooges , comme lui. Les deux nouveaux compères ont dans l'idée de monter un groupe mais se rendent vite à l'évidence qu'il est très difficile de trouver des musiciens qui acceptent de les suivre dans leur démarche proto-punk destroy. Passé quelques mois, ils font la connaissance de deux têtes brûlées qui jouent dans une formation locale nommée Rocket From The Tombs . Gene O'Connor (guitare) et John Madansky (

DAY BY DAY - LES MONKS - LET'S GO, IT'S BEAT TIME, IT'S HOP TIME. IT'S MONK TIME NOW!

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  Que peut être plus éloigné de la culture rock qu’un moine ? Il existe bien sûr le livre gothique de 1796 écrit par Matthew Gregory Lewis intitulé «Le moine » (The Monk : a romance) narrant les manipulations d’un moine sur ses paroissiennes afin de satisfaire sa libido. Livre qui a sûrement été une influence pour le film « Les Diables »(The Devils) de Ken Russell en 1971, réalisateur du film « Tommy » des Who en 1975... Mais c’est certainement un peu trop pousser. En 1966, il y eu aussi le film «Raspoutine, le moine fou (Rasputin, the Mad Monk) avec   Christopher Lee (plus connu pour son interprétation de Dracula). Là aussi, le film est sorti alors que le groupe THE MONKS existait déjà. Ce n'est pas non plus le groupe de yé-yé francais THE MONKS officiant depuis 1959 sur les disques Vogue qui les a marqué (ils n'en connaissaient même pas l'existence).Il n’y a donc tout simplement aucune inspiration pour ce groupe… Quelque-chose d’assez unique, car même les plus grands te

ROCK LIBRARY - JON SAVAGE - ENGLAND'S DREAMING

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« ENGLAND'S DREAMING : LES SEX PISTOLS ET LE PUNK » Jon Savage.  (Allia. 2ème édition, août 2005) Jon Savage a vécu le mouvement punk côté anglais. En 1976, il crée le fanzine « London's Outrage », puis travaille pour les magazines Sounds et Melody Maker. Proche de Malcolm McLaren, manager des Sex Pistols , il côtoie le groupe et le punk dans son ensemble ce qui lui permet, 25 ans plus tard, d'écrire « England's Dreaming ». Si  Please Kill Me  peut sembler un peu beauf et indigeste, abordant le sujet avec un certain mépris pour les groupes britanniques, England's Dreaming  est bien plus riche et plus subtil.  L'ouvrage, passionnant, débute en Angleterre à la fin des années 60, après les Mods (dont il est toutefois question au tout début). Il présente les événements à venir à travers l'ouverture du magasin de Malcolm McLaren, ses aller-retours aux USA, les New York Dolls , le Max's Kansas City, le tout sur fond de vie politique et sociale.  Savage lais

DAY BY DAY - THE PENETRATORS

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Retour en arrière, vers 1976 : Le duo de bons à rien Jack Lipton (grognements et hurlements) et Eliot "Spike" Kagan (instruments destructifs) s'isolent des hivers glaciaux de New York dans un sous-sol de la banlieue de Syracuse. Nourris de malbouffe et de plats chinois à emporter, ils se concentrent sur la création d'un son "punk" qu'ils pourraient revendiquer. En août 1976, avec Curtis "Scandalizer" Seals et Fred Rapp, ils forment THE PENETRATORS, montent le studio CHEESE (muni d’un quatre pistes) et lancent leur propre label, FRED RECORDS. Alors que le punk explose autour d'eux, les quatre compères mélangent les sons grinçants des premiers ROLLING STONES et des KINKS avec le vacarme punk garage de DMZ. Les jeunes gens concoctent un cocktail débridé de garage et de proto-punk. Ils ont sorti eux-mêmes deux 45 tours garage punk essentiels en 1979. Le premier, "Gotta Have Her/Baby, Dontcha Tell Me", est une véritable bombe à retarde

IGGY & THE STOOGES - THE DO - THE BELLRAYS - THE HIVES GARDEN NEF PARTY – ANGOULÊME – 19 JUILLET 2008

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Lorsque j'arrive, The Do sont sur la grande scène. Je ne les connais pas, même pas de nom. Je trouve ça pas trop mal, mais je suis parasité par mon impatience de voir enfin Iggy & the Stooges. Enfin ! Jamais je n'ai pu voir l'iguane en concert. Pourtant, les occasions n'ont pas manqué, mais à chaque fois, ce fut non, des événements m'en ont empêché. Bref, The Do étaient sur la grande scène. Changement de décor, changement de style, The Bellrays jouent sur la petite scène et qu'importe le lieu, ils sont toujours aussi forts. Lisa Kekaula et son gang embarquent tout le monde dans leur show high-energy, punk-rock & soul, toujours aussi efficace, malgré le départ du guitariste Tony Fate. Cette année sort l'album « Hard Sweet & Sticky », pas leur meilleur, mais le set est également composé de titres de « Have A Little Faith In Me » (monument) ainsi que des albums précédents, « Let It Blast » et « Grand Fury ». Comme à chaque concert des Bellrays,