DISCOTHÈQUE FROM A TO Z & BACK AGAIN – Part 4 – lettre B

 


Mon groupe favori en B, ce sont les Box Tops, mais j’en parlerai à la lettre C, comme Lx. Celui que j’aime le moins c’est sûrement Bon Jovi (L'Archiviste : son duo avec Willy Deville pour Save The Last Dance dans Taratata est pas mal non ?), de mauvaise fois, je n’ai jamais vraiment écouté de rock FM.

Plus sérieusement (drums roll, please), en reprenant la trame commencée avec la lettre A :

B comme tout d’abord Solomon Burke, dont j’ai déjà parlé plusieurs fois dans des articles précédents
https://monstres-sacres.blogspot.com/2024/08/you-know-singer-not-album-part-2.html.
 Que dire de plus que tous ses disques sont indispensables et très variés.

Parmi mes autres favoris, et dans des genres différents, il y a les californiens Brentwoods, le groupe de Karen, ex Supercharger (ceux de Radio X), cinq singles et un album garage inspirés, les brésiliens inclassables Thee Butchers Orchestra, des cassettes au départ, dernier album sur Voodoo Rhythm, j’aime tout. Marco Butcher a ensuite participé à plein de projets plus ou moins blues ou garage.


Parmi les monstres sacrés ou dinosaures, il y a bien sûr les Beatles (je n’ai pas tout, n’aime pas trop Sergent Pepper, peut-être parce que j'ai uniquement écouté l'horrible version stéréo) et les disques solos, les Beach Boys, William Bell, Chuck Berry – j’en profite pour citer au passage deux Berry moins connus – Richard Louie Louie, Have Love Will Travel, The Big Brake, etc, mon préféré – et les Bel Raves, le groupe surf / hot rod des frères Lou et Red Berry. Il y a aussi Blondie, dont j’aime toujours bien le premier album et quelques singles pré discoïdes, David Bowie, James Brown – beaucoup d’autres Brown, à commencer par Findlay et son superbe album Love Will Find You (2009, je citerai les autres Brown dans les listes Lux & Ivy’s faves (LAIF) et Dan Penn (DP) – Buzzcocks, dont je n’ai gardé que les singles et le LP de démos pré LP’s, et les Byrds, bien sûr, ainsi que pas mal de disques solos, de Gram Parsons surtout, de Gene Clark et de Roger McGuinn.

Parmi les un peu moins connus – tous genres confondus hors français, LAIF, DP, soul, R’n’B et R’n’R et toujours par ordre alphabétique – j’ai envie de citer (environ un sur trois des artistes dont je possède des disques) : Burt Bacharach (Make It Easy on Yourself, la compile The Magic Of BB), Badfinger, petits protégés des Beatles à la carrière et vie tragiques, j’ai deux best of, Bantam Rooster, un des quelques groupe garage dont je ne me suis pas lassé, avec les suédois Blacks et les anglais Black Time. On a parlé des Brown, il y a aussi pas mal d’autres Black : Black Keys, Black Lips, bof, Black Rebel Motorcycle Club, dont certains albums s’écoutent encore pas mal. Je reprends l’ordre alpha avec les Barracudas et dérivés / solos (Fortunate Sons, …), que j’ai beaucoup aimé à l’époque. Je me rappelais le 1er album, truffé de classiques, avant de le réécouter il y a quelques années, très déçu. Reste les morceaux composés et / ou chantés par Chris Wilson sur les suivants. Suivent Barry & The In-Group et les Baskerville Hounds, garage 60’s tous les deux, Bassholes, garages 90’s, Batman & Robin, garage 00’s, le one man band BBQ, dont je n’ai pas retrouvé dans les albums l’énergie du concert que j’avais vu de lui à Brooklyn en 2006, Bebe Buell, la mère de… (L'Archiviste : À propos, Steven Tyler, c'est aussi du rock FM pour toi ?😉), et son single Little Blag Egg / Funtime d’Iggy, Beck, pour son split single avec Jay Reatard, Gamma Ray, une merveille (surtout par JR), les Beechwoods, surtout le dernier album (pas de l’avis de tout le monde), les Bee Gees du tout début, The Bees, Voices Green & Purple et les Beavers, Chantilly Lace du Bog Bopper, The Bel-Aires, le génial Ya Ha Be Be, repris par les Gories, les Bingers et leur album de reprises géniales avec theremin, Classic Hits,les Blowtops, garage 90’s, encore, cette liste devient inter(minable), je vais faire court, supprimer des trucs peut-être meilleurs que ceux listés ci-dessus, tant pis : j’ai gardé quelques 7’’ des B-52’s, celui des B Girls (Bomp, 1979) et des Boyfriends (même label, 1978), le EP de Big Ed, pour sa reprise de Second Cousin des Flamin’ Groovies, quelques disques de Big Sandy, tous les disques des allemands Bikes et leur extension Slander Tongue (Gildas aimait aussi), pas encore écouté le tout dernier, Bit ‘A Sweet, un groupe psyché de Pennsylvanie dont l’album n'est pas top mais dont le 7’’ Out Of Sight, Out Of Mind / Is It On – Is It Off (1967) est une merveille, tout comme les singles de Hal Blaine, le batteur de la wrecking crew de Phil Spector, les Blasters des frères Alvin et le one man band Bloodshot Bill ont quelques morceaux qui tiennent la route, qu’est-ce que j’ai pu aimer les Bluebells, des écossais, et leur extension, The McCluskey Brothers, j’ai tout gardé (ça ne se vend pas), les BMX Bandits, des écossais aussi. Ah, aussi,  cet album Diamond After Life des aussies (autraliens - Melbourne) Blue Stratos, que du bon, surtout les originaux, reprises des Real Kids et des Oblivians, aussi, d’autres australiens, les Breadmakers, surtout pour leur reprise du Memphis Train de Rufus Thomas. Les punk bluesy Brimstone Howl, pas écoutés depuis longtemps, les one hit wonder Brogues et leur I Ain’t No Miracle Worker, le superbe album solo d’Ernie Brooks, les Brown Brogues, de Manchester, quelques bons albums dont un hommage au Ramones (une cassette), Tim Buckley, surtout pour l’abum Greetings  From LA (L'Archiviste : Son fils est aussi sympa à écouter), et pour enfin finir cette liste, le premier album éponyme de Lisa Burns reste très fréquentable, à mon avis.


Côté français ou presque, il y a en priorité El' Blaszczyk, surtout son 1er EP et l’album inédit À L’Hôpital, dans le genre déjanté, les deux EP’s 60’s des Blousons Noirs, sorte de Hasil Adkins français, Brigitte Bardot, sa période Gainsbourg, Bashung, période Osez Joséphine, les rennais Bikini Gorge, deux albums (+ 1 single) superbes, Ronnie Bird, surtout les EP’s, Bleu Bizarre, des canadiens, avec leur album Adieu Gary Cooper, les parisiens Blutt (3 EP’s et un album démo superbes, un album officiel moyen) et Brain Eaters, Xavier Boussiron, ah, Xavier Boussiron et son album Rien Qu'un Cœur De Poulet - Des Airs De Roy Orbison (1995), uniquement joué aux claviers.

 À écouter en entier

Il y a aussi de bons disques de Bach, Beethoven, Berlioz, Bruckner et dans encore un genre différent, Chet Baker.

Comme d’habitude, pour limiter les (encore plus) longues listes, je fais - coupe plutôt – court en énonçant mes autres artistes favoris de la lettre B, en les regroupant en plusieurs blocs : Lux & Ivy’s Faves (LAIF), reprise de Dan Penn (DP), soul / R’n’B, R’n’R et le reste par ordre plus ou moins alphabétique et en me limitant à mes favoris sur la durée.

LAIF : surtout des singles, souvent instrumentaux, comme vous le savez désormais. On commence par Baby Sticks & The Kingtones, avec Pigmy (1962), un morceau avec des cris d’animaux, d’oiseaux ici, que Lux aimait bien imiter sur scène : ohaaaah, ohaaaah. Est-ce du blues ou du jazz ? Discogs classe ça en garage. Je préfère l’appellation novelty, dont on peut aussi qualifier Bloopers Morse Code (novelty surf) de Stu Allen & The Bloopers (1963). Pour Gar Bacon, en revanche, on est certain que There’s Gonna Be Rockin’ Tonight (1957), c’est du rockabilly. Même chose pour Johnny Blue et son Runaway Guitar (1960), (Miss) Misty Bonner avec I Can’t Sit Still (1962), Tony Butala avec Long Black Stockings (1957), featuring Eddie Cochran à la guitare. L’instrumental Forbidden City (1958) de John Buck & The Blazers est une sorte de rockab aussi. Pour clore la partie rockabilly, les Cramps ont repris Tear It Up de Johnny Burnette (1956), dont tout amateur de rockab se doit d’avoir l’album R'n'r Trio dans sa discothèque, ils ont aussi repris Butcher Pete (1949) et Jelly Roll Rock (1958) de respectivement Roy et Walter Brown, ainsi que Red Headed Wowan de Sonny Burgess (1957), avec James Dickinson au chant, Faster Pussycat des Bostweeds de Russ Meyer (1966) et Sweet Woman d’Edwyn Bruce, lors de leurs premières répètes, avec Lux à la guitare, aussi. Ils n’ont pas repris mais se sont inspiré de ces chansons : Calling All Cows des Blues Rockers (1954 – Cornfed Dames), Bust Out des Busters (1962 – I’m Cramped). J’enchaine avec les morceaux R’n’R : tout le monde devrait avoir dans sa collection There Was A Fungus Among Us de Hugh Barrett & The Victors (1961), ne serait-ce que pour étonner les invités, Barbara & The Boys, un seul 7’’ (1958) Hooty Sappleticker, dommage, B.B. (Cunningham), Electrode, un instro de 1959, Tommy Blake avec $ F..olding Money $ (1959), Bob & Jerry, Ghost Satellite (1958). On est dans le R’n’R horror avec The Living Dead de Jim Burgett (1961) et Vampira de Bobby Bare (1958). Encore un instrumental, Tremblin’ de Birdie Green (1962), je continue la liste avec Tommy Brown & The Tom Toms et leur Tomahawk (1960), Butch Paulson, génial Man From Mars et Ruby Baby de Cody Brennan & The Temptations (tous les deux de 1961).
Côté soul / R’n’B, doo wop, il y a les Bangers avec Baby Let Me Bang Your Box, Parts 1 & 2 (1965), tout un programme, Johnny Beeman et ses Laffin‘ ou Rockin’ Beatnik (1960), avec Watusie Freeze Parts 1 & 2 de Big Walter & The Thunderbirds, on est dans le genre soul surf, Don’t Fuck Around With Love est un acetate des Blenders édité sur un one sided single en 1973, The Bracelets, post Original Bluebells, Waddle Waddle (1962) 
et le fabuleux Moptity-Mope des puissants (mighty, private joke) Bosstones (1959), c’est du doo wop, un peu de R’n’B avec les non moins géniales Bobbettes, I Don’t Like It Like That Parts 1& 2 (1961)Avec Brook Bond Foods et Red Rose Tea (1962), on n’est pas loin du jazz, The Joker de Bob Bunny & The Jackrabbits (1957), Oscar Brown Jr. avec But I Was Cool (1960). Lux et Ivy n’appréciaient pas que les raretés, aussi des classiques comme Green Onions de Booker T & The MG’s. Un peu de jazz (?) avec I came To Demolish Cleveland de Stacy Bengal & His Six Outfielders, 1959, un 78 RPM au départ et Eddie Bishop (soul jazz ?), What Did He Say (1966), George Barnes (pop jazz ?), Trainsville (1962). Du tango aussi, Archie Bleyer et son irrésistible Hernando’s Hideaway (1954). Je finis cette longue liste – merci Lux et Ivy pour ces moments de bonheur - avec le surf / hot rod : The Bumble Bees, Echo Boogie (1963), Ray Burden, A Hot-Rodders Dream (1960) et Edd Kookie Byrnes, Hot Rod Rock, un EP de 1959.


DP : ils sont recommandables, ayant interprété un ou plusieurs morceaux composés par Dan Penn, et parfois produits par lui, comme The Dark End Of The Street, Do Right Woman, Do Right Man et I'm Your Puppet, mais pas que : pour les 60’s, Glenn Barber, Bobby Bare, James Barnettnotamment un single de 1966 avec les deux faces composées par Dan Penn (Keep On Talking et Take A Good Look), The Baron & His Pounding Piano, Beau Dollar, Los Belkings du Pérou, le génial William Bell a repris Do Right Woman…sur son premier album The Soul Of A Bell (que du bon), (les) trois (seuls) singles indispensables, tous composés par DP, dont I Do, de Ben & Spence, Bobby Blue Bland, un des héros de DP (tout est bien) s'est réapproprié I Hate You. Il y a aussi Marcia Ball, les Bleaters, un seul single R’n’R en 1964, des canadiens, Ken Boothe – à cause de DP, j’ai racheté des trucs reggae, alors que j’avais tout revendu, en plus j’aime bien – Tony Borders, de nombreux singles, trois composés par Dan Penn dont le premier, Pass The Word (1963) spécialement pour lui, les canadiens Boutons, Bill Brandon avec sa superbe version de Rainbow Road, chanson initialement écrite pour Arthur Alexander, puis Strangest Feeling un peu plus tard (1970), Van Broussard, quelques autres Brown (toutes époques) – Greg, Glenn, Ella, Floyd, Ray, Roy, Ruth (deux morceaux pour son album A Good Day For The Blues (1999) & T. Graham (Cf. ci-dessous), l’anglais Kenny Bernard avec sa superbe version de I Do.
70’s : Black Velvet, encore des anglais, qui se réapproprient un morceau écrit pour les Box Tops, Backalley Bandits, un seul album en 1978, produit par DP qui leur a composé un morceau en plus de la cover de Come On Over, Steve Bogard avec When My Ship Comes In, le premier de ses trois singles, un morceau qui devait figurer sur le deuxième album de Dan Penn resté inédit à ce jour, Joyce Bond, Benny Boyd, Let's Get Acquainted Again pour Floyd Brown, Ella Brown, qui reprend Do Right Woman, Do Right Man, Billy Burnette, le fils de Johnny, deux albums produits par Chips Moman, DP à la compo et dans les chœurs, Angeline Butler, son seul LP (1970), featuring l'inédit Keep On Keepin’ That Man, également sorti en single.
80’s et 90’s : le countryman Shane Barmby, les hollandais Bintangs, Blue Star Blue (UK), les allemands Bluesquamperfect, Bobby Boseman, qui a repris deux morceaux de Dan Penn sur son premier (sur deux) single, 1970, Boxcar Willie, The Boxcars.
Plus récemment : Martia Ball, une habituée des reprises de DP, qui lui a composé trois chansons pour son album Roadside Attractions (2011), les Muscle Shoals Sessions d’Amy Black, l’australien Jimmy Barnes, à l’album duquel Dan Penn participe.
Je finis par les meilleurs et plus récents : Plain Jane In A Mustang (2005) de Lisa Best, manager (ou ex ?) de Dan Penn, qui a composé plusieurs morceaux pour cet album et y participe. Quant à T. Graham Brown, c’est un des porteurs de la flamme Dan Penn, un morceau composé ensemble, We Tote The Note, 1990, beaucoup de reprise, notamment dans son nouvel album (mi 2024), From Memphis To Muscle Shoals.


Pour finir, par ordre alphabétique inversé (enfin, plus ou moins), pour varier un peu, avec mention du single quand c’est la plupart du temps leur seul discographie :

Soul / R’n’B : j’avais jusqu’à aujourd’hui classé Lavern Baker à la lettre L, ne pensant pas que Lavern était un prénom (mixte) au moment où j’ai acheté son premier disque (pour moi, le sixième en fait), Saved (1961), dédicacé depuis. Ce que je préfère d’elle ce sont les singles Jim Dandy (1956), Jim Dandy Got Married (1957) et surtout Hey Memphis, sorte d’écho à Little Sister, couplé à et Voodoo Voodoo (1961)Brook Benton dans un genre plus crooner, Jerry Butler, beaucoup de bons trucs, c’est notamment le co-auteur de I Stand Accused (1964), R.L. (rural, comme dit Tav Falco) Burnside et son petit fils Cedric, Barney Burcham, pas le meilleur 7’’ sorti sur le label Moon, Precious Love, un LP du sous-estimé Don Bryant (1969), The Wash de Brenda & The Tabulations (1964), le fabuleux Eddie BoNew Orleans sound, qui a notamment composé Baby I’m Wise repris par Little Richard son le nom Slippin’ And Slidin’, les Blue-Belles avec I Sold My Heart To The Junkman (1962), les Blisters, encore du doo wop, avec une des meilleures versions que je connaisse de Shortnin’ Bread (1963), Otis Blackwell, auteur notamment de Fever, Great Ball Of Fire, All Shook Up, Don’t Be Cruel et Daddy Rolling Stone, pour citer un morceau présent sur son premier album de 1957, Singin’ The Blues ; le second, These Are My Songs, qui comporte tous les morceaux cités, parmi d’autres, dans des versions catastrophiques, ne sortira qu’en 1977. J’aime bien Danny Boy et son Don’t Go Pretty Baby (1958). Doo wop encore avec Itchy Koo de Hank Blackman & The Killers, chanson écrite sous un autre nom l'année précédente pour J.J. Jackson (teaser pour la future lettre J). Goin’ To The River de Bill & Will (1962) fait souvent partie de la set list des Gories. Au répertoire de Willy DeVille, il y avait Bad Boy de Big Daddy & His Boys (1958). À celui de Lx Chilton, I’ve Had It des Belle Notes (1959). You Crack Me Up de Charlie Baker est un single de 1959. Big Syl Barnes, Come On Back (1960) et deux autres singles doo wop, pour finir : Baby Jane & The Rock-A-Byes avec Hickory Dickery Dock (1963) et The Baby Dolls avec Thanks Mr Dee Jay (1961).


Rock’n’Roll / rockabilly / surf / hot rod / twist / novelty : Daryl Britt & The Blue Jeans, Lover, Lover (1959), The Brain Twist (un EP français de 1963), encore du twist avec Bowlegs & His Band, Hunky Twist (1962) et Twistin' White Silver Sands du Bill Black’s Combo (1962), un des très nombreux disques sortis par le groupe du bassiste d’Elvis, le génial It’s Witchcraft des Blue Echoes (1959), Jules Blattner avec 500 Pound Canary, une de ces novelties que j’adore, 7’’ reçu ce jour (15 novembre), tout comme le délicieux Delicious de Jim Backus & Friends (1958). Encore une novelty, Mama’s Place de Bing Day (double meutre, allo police, I want to report a murder, je ne voulais pas la tuer elle, je vous attends au bar…). Il y a plusieurs chanson qui parlent des grenouilles dans le répertoire R’n’R, dont Daddy Frog par Big Daddy with The Little Sisters (1959).Un peu de bouffe, maintenant avec Chili With Honey de Danny Bell & The Bell Hops (1962). Les A-Bones reprenaient That Jim de Mackey Beers & The Rockits (1962).



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Jacques : Je rajouterais Blue Cheer pour les deux premiers albums que j'écoute toujours, le premier groupe qui jouait très fort. (L'archiviste : Tout à fait d'accord, je conseille de voir leur passage TV au Beat Club pour juger de la chose)

Et pour rester dans le bleu, les Blue Aeroplanes, un excellent groupe indie British avec Rickenbakers carillonnantes et  rythmes virevoltants. Et évidemment Blue Oyster Cult dont je ne garde que le 2e LP, Tyranny and Mutation, surtout pour Teenarcher.  

Le premier album de l'Edgar Broughton Band, Wasa Wasa reste sur mes étagères.

Et je garde les sept albums d'Asa Brebner qu'il m'avait envoyés (PB : Modern Lover un jour...).

Je n'ai pas conservé Bad Company, vus sur scène en Angleterre pendant les 70's et excellents mais les albums n'étaient pas à la hauteur.  Je n'ai plus rien de B.A.D. (Big Audio Dynamite) qui a vieilli trop vite et j'ai toujours détesté Blink 182. 

Pendant les 60's, il y a les Blossom Toes, la suite des Ingoes,  pour Billy Boo the Gunmen. Les Bar-Kays de Soulfinger.

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La liste de Gérard :

Big Star auquel j'associe Chris Bell, Frank Bango (songwriter new yorkais, au moins 6 albums à son actif), Chris Bailey, Richard Barone leader du groupe les Bongos, Barracudas, Jeff Beck (en solo, avec le Jeff Beck Group, Beck Bogert et Appice, Yardbirds), Brendan Benson en solo et avec les Raconteurs de Jack White, Big Ray (groupe anglais, proto punk, power pop), Bijou, Blessed Virgins, Jim Boggia (songwriter ricain, énorme talent!), Blind Faith (supergroupe 70s avec Clapton, Steve Winwood...), David Bowie, bien sûr, Jackson Browne, Roy Buchanan et Buffalo Tom (trio ricain).


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Les 2 cents de l'Archiviste :

Je me suis fait le plaisir de m'offrir le coffret de Dylan accompagné de The Band (rappelez vous le premier bootleg mis sur le marché), ce groupe a sorti un excellent premier album, le deuxième l'est tout aussi. J'adore les Bauhaus, du moins avant qu'ils ne se reforment pour le fric. Black Sabbath est cool aussi non ? (PB : non !). Le premier album de Bloc Party ne prend jamais la poussière. Patrick, je rêve où tu n'as pas évoqué Bo Diddley (ou est-il là pour la lettre D ? - oui). Bonnie Prince Billy et son I See A Darkness a également bien plu à Johnny Cash :) ... Par contre, je ne sais pas si les Buffalo Springfield aussi ... En tout cas, ils sont sur mes étagères de disques.

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Les B de Bernard : Badfinger, Baker Gurvitz Army, Barclay James Harvest, Syd Barrett, BBA,  Beach Boys, Bee Gees, Chuck Berry, Bérurier Noir, Ronnie Bird (pour Jacques Leblanc), Birds, Blondie, Bloodrock, Blue Cheer, Bonzo Dog Doo-Dah Band, Buzzcocks, Byrds.

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Jean-Jacques complète et ajoute:
 
The Bablers: Groupe finlandais de powerpop dont l'excellent dernier disque Pyschadilly Circus est paru en 2021 chez Big Stir Records, signe de qualité.
Backsliders : Groupe du Havre fondé à la fin des années 80 par François Lebas (Ex Fixed Up et leader actuel des François Premiers) (NDLR : François, c'est quand tu veux pour une interview). Leur premier album, Impose The Worst, propose un rock brut qui ne néglige pas les mélodies.
Bad Brains : Autre groupe du Havre mais du début des années 80. Leur mini LP, Legends From The End Of Time, sorti chez Closer, demeure une référence du rock de l'époque.
Dan Baird: Chanteur, guitariste aux participations multiples (Georgia Satellites pour ne citer que les plus connus), sa carrière solo est également digne du plus grand intérêt comme le prouve son album Love Songs For The Hearing Impaired, sorti en 1992 sur le label DEF American de Rick Rubin.
Kurt Baker: Carrière prolifique pour ce chanteur multi-instrumentiste de powerpop qui fait songer au jeune Elvis Costello. Difficile de choisir un seul disque dans une carrière multiple. Je vous propose Brand New Beat, un de ses plus récents albums.
Mickey Baker: Guitariste de jazz à l'origine, il s'est fait connaitre comme musicien de session pour un nombre considérable d'artistes comme en témoigne Mickey Baker In Session, Ain't No Strain - 1952-1961. Son jeu de guitare a constitué une influence majeure pour de nombreux guitaristes. Egalement connu pour son duo Mickey & Sylvia et leur célèbre "Love Is Strange"paru en 1956.


Sam Baker: Chanteur de soul des années 60 peu connu mais de très grande valeur comme le prouve, I Believe In You, qui rassemble les titres parus chez Sound Stage Seven.
Tom Baker: Musicien originaire de Boston, membre des Dirty Truckers. Il vient de sortir l'excellent Justine & Me.
The Balloon Farm: Groupe américain à la carrière brève mais qui a sorti un des hymnes des 60's US, "A Question Of Temperature".


The Bam Balams: Brillant groupe australien des années 80.  Leur 1er single, Deliver My Love est une petite pépite.
Les Bandits: Groupe français originaire de Nice comprenant notamment Christine Lidon au chant. Leur premier EP, "Millionaire" demeure un témoignage intéressant de l'effervescence du rock français des années 80.
The Bangsters: Une nouvelle preuve de la qualité des disques parus chez New Rose dans les années 80 avec ce groupe australien. Leurs deux mini LPs valent le détour, je conseille "The Scarlet Plague"
The Baron Four: Groupe beat perpétuant avec brio la grande tradition britannique. A sorti Outlying au printemps dernier. Une nouvelle réussite !
Syd Barrett: Premier leader des Pink Floyd avant de connaître des problèmes psychologiques. La compilation The Best Of Syd Barrett - Wouldn't You Miss Me? rend compte du talent de cet artiste culte.
Bart & The Brats: Groupe punk de la Rochelle. Son dernier EP, Only Fair paru en novembre dernier est un petit brulot.
Lou Ann Barton: Chanteuse texane proche des frères Jimmie et Stevie Ray Vaughan pour lesquels elle a chanté, elle est une artiste qui poursuit l'oeuvre des grandes chanteuses de rhythm'n'blues. Son premier album, Old Enough, enregistré à Muscle Shoals demeure mon favori.
Fontella Bass: Extraordinaire chanteuse soul principalement connu pour ses enregistrements des années 60 pour Chess (cf le hit "Rescue Me"), je vous conseille de découvrir ses superbes parutions du début des années 70 chez Paula réunies dans To Be Free - The Paula Recordings.
Batmen: Groupe marseillais mené par Daniel Sani et Henri Sanchez, deux figures de la scène de la ville. Après un premier album rempli de reprises gouteuses, ils annoncent un live pour le début de l'année prochaine.
The Batmen: Groupe grenoblois des années 80. Leur premier album éponyme sorti chez Closer,  est une réelle réussite.
Joe Beard: Bluesman américain héritier de la longue et superbe tradition des guitaristes de blues électrique. Il a enregistré plusieurs albums avec Ronnie Earl dont Dealin'.
The Beasts Of Bourbon: Fantastique groupe australien formé autour de Tex Perkins et accueillant successivement la crème de la scène garage australienne (Spencer P. Jones, Kim Salmon, Brad Shepherd...). Leur premier album Axeman's Jazz eut un impact retentissant sur la scène rock des années 80.
The Beat (UK): Un des groupes du revival ska britannique de la fin des années 70. Leur premier disque I Just Can't Stop It avec le vétéran jamaicain"Saxa"en faisait les représentants les plus authentiques de la scène.(NDLR : On avait interviewé Hunt Emerson, le créateur de leur logo, c'est ici)
The Beat (US):  Mené par Paul Collins. Un des meilleurs groupes du revival powerpop US de la fin des années 70. Leur premier album "The Beat" contient une belle série de chansons.
Bees Make Honey: Groupe de pub rock londonien originaire d'Irlande. Il ne sortit malheureusement qu'un seul disque en 1973, Music Every Night, de très bon niveau enregistré aux célèbres studios Rockfield. 
Archie Bell & The Drells: Un des meilleurs représentants du son 60's/70's de Philadelphie. Let's Groove (The Archie Bell & The Drells Story) en propose un bon aperçu.
Famille Bell: Carey & Lurrie : Le père, Carey excellent harmoniciste et le fils, Lurrie, brillant guitariste ont placé la famille sur la carte du blues. Ils ont enregistré ensemble plusieurs disques dont ce live Gettin' Up Live.
Jesse Belvin: Chanteur R&B / pré-soul des années 50. A l'instar de Sam Cooke et d'Otis Redding il a connu une mort tragique alors qu'il était promis au succès. Vous pouvez le découvrir avec la compilation  The Unforgettable Mr Easy
Buster Benton: Brillant musicien mêlant blues et soul. Son premier album Spider In My Stew, produit par Willie Dixon est splendide.
Big Maybelle: Un des plus grandes chanteuses de blues, ce disque The Complete King, Okeh & Savoy Releases - 1947-61 le confirme.
Bijou: Cité à juste titre par Gérard car un des meilleurs groupes d'expression française. Leur quasi intégrale est ici: Pic à Glace
The Birds: Le premier groupe de Ron Wood. Au delà de cette anecdote, il s'agit de très bon R&B anglais comme l'atteste The Collectors' Guide To Rare British Birds
Black Pumas: Nouvelle sensation de la scène soul avec un excellent premier album, Black Pumas, qui a connu un succès mérité.
Blackie & The Rodeo Kings: Du bon country-rock en provenance du Canada. Disque conseillé: Bark.
Hal Blaine: En complément des singles cités ci-dessus par Patrick, une approche intéressante de son activité de batteur de session se trouve dans Drummer Man!! - Hal Blaine Session Works.
The Blessings: Groupe californien mêlant habilement rock puissant et blues avec une touche de soul. A écouter leur dernier disque sorti en avril 2024, Woke Up With The Noonday Devil.
Bobby Bland: Un immense chanteur au sens propre comme au sens figuré. Difficile de choisir un disque dans une discographie étoffée. The Voice (Duke Recordings 1959-69) constitue une bonne approche.
Mike Bloomfield: Connu pour sa participation à Electric Flag ou au Butterfield Blues Band, on se délecte de son jeu de guitare dans Live At Old Waldorf.
The Blues Band: Toujours actif et fidèle à ses racines puisées dans la musique noire, Official Bootleg Album est toujours très agréable plus de quarante ans après sa sortie.
The Blues Brothers: Soyons leur reconnaissants d'avoir projeté de nouveau la lumière sur d'immenses artistes soul. Disque conseillé: The Blues Brothers Complete.
Blues Magoos: Groupe intéressant de garage punk psychédelique de la fin des 60's. Une collection de leurs singles se trouve dans The Mercury Singles
The Bo-Keys: Réunion d'anciens musiciens de Stax et Hi-Records. Difficile de choisir un disque, disons : The Royal Sessions pour le clin d'oeil au mythique studio.
Bo Weavil Band: Magnifique artiste blues, je conseille vivement tous ses disques notamment Early Recordings sorti chez Lenox Records.
Eddie Bond: Chanteur rockabilly moins connu que les grandes stars du genre mais ses titres souvent très sauvages comme "Rockin' Daddy" (ci-dessous) sont des modèles du genre. A écouter sans modération avec Memphis Rockabilly Boy

Gary US Bonds: Après une série de hits au début des années 60's (Quarter To Three, New Orleans...), sa carrière a été relancée au début des années 80 par des disques produits par Bruce Springsteen, dont Dedication. 
Marcel Bontempi: Brillant artiste allemand mélangeant rockabilly, hillbilly et garage. Il publie des singles et des EP qu'il rassemble régulièrement dans des compilations dont la dernière, Crawfish Troubles Cats & Ghosts - Demos & Recordings 2015-2020.
Tony Borders: Cité par Patrick comme interprète de chansons de Dan Penn. Grand chanteur de soul sudiste, produit par Quin Ivy à Muscle Shoals. A écouter dans cette compilation: Cheaters Never Win.


Cyndi Boste: Songwriter d'alternative country australienne . Son premier disque Home Truths de 1998 est toujours aussi plaisant.
The Bottle Rockets: Groupe américain d'alternative country et de roots rock. Leur dernier album, Bit Logic est dans la lignée de qualité des précédents.
The Bottle Ups: Excellent groupe de rock garage suedois à la carrière courte. Leur dernier single, Long Gone, présente deux titres incendiaires.
Bottlecap Mountain: Groupe d'Austin (Texas) dont la musique mêle habilement rock alternatif et country. Wandering Down: The Singles 2021-2024   relate leurs trois dernières années.
Grace Bowers: Toute jeune artiste dont le premier disque "Wine On Venus" vient de paraitre. Il propose une mélange réussi de diverses influences bien choisies. Une belle carrière lui semble promise.


Eddie Boyd: Grand pianiste de blues/rhythm'n'blues américain dont la longue carrière (commencée avant guerre) s'est terminée en Europe avec notamment des enregistrements pour le label Blue Horizon de Mike Vernon. The Singles Collection 1947-62 retrace habilement ses premières années.
The Boys : Séminal groupe de punk dont le succès n'a pas été à la hauteur du talent dont témoigne The Collection
Charles Bradley: Chanteur soul de grand talent découvert sur le tard (à plus de 60 ans !). Son premier album No Time For Dreaming sorti sur Daptone fut une splendide révélation.
Tiny Bradshaw: Excellent chanteur de R&B des années 40-50 qui a écrit plusieurs titres célèbres dont "Train Kept A' Rollin'" que l'on retrouve parmi d'autres sur The EP Collection.
Doyle Bramhall: Personnage incontournable de la scène blues rock texane, il apparait comme batteur sur d'innombrables disques. Son premier disque solo Bird Nest On The Ground mérite la (re)découverte.
Billy Branch: Talentueux harmoniciste de blues qui perpétue la tradition du blues de cette ville. Son dernier disque, Roots And Branches est un hommage à Little Walter.
The Breakaways: Après les Nerves et avant leurs groupes respectifs, Peter Case (Plimsouls) et Paul Collins (The Beat cité ci-dessus) ont fondé ce groupe dont l'unique et réussi témoignage s'appelle Walking Out On Love (The Lost Sessions).
The (Los) Breakdowns: Groupe britannique des années 2000-2010 remarquablement inspiré par le punk et le garage rock. Leur dernier disque, Rock'n'Roll Skates, remonte à 2014.
Billy Bremmner: Après la disparition de Rockpile dont il était le guitariste, il a poursuivi une carrière discrète mais de qualité comme en atteste Singled Out.
Jackie Brenston: Souvent considéré comme l'auteur du premier rock avec "Rocket 88",  il propose également d'autres titres, souvent avec Ike Turner, qui valent largement l'écoute, ce que propose The Mistreater

 
Leon Bridges: Jeune chanteur de soul. Son dernier disque Leon, confirme son immense talent.
Brinsley Schwarz: Un des plus célèbres groupes de la scène du pub rock britannique dans les années 70. Surrender to the Rhythm constitue une bonne porte d'entrée à leur œuvre.
The British Lions: Né dans les suites de Mott The Hopple, son mélange de glam et de rock aux effluves pub rock s'écoute sur leur unique et superbe album, British Lions qui a fait l'objet d'une réédition augmentée en 2023.
Lonnie Brooks: Bluesman ayant proposé une synthèse aboutie du blues de la Louisiane et de celui de Chicago. On en trouve le plus exemple sur Bayou Lightning.
The Brothers Steve: Groupe de powerpop de Los Angeles fondé en 2019. Leurs disques de facture supérieure sont parus chez Big Stir Records
Charles Brown: Chanteur, pianiste de R&B à la longue et influente carrière. Ses meilleures faces enregistrées chez Aladdin sont réunis sur Driftin' Blues, The Best Of.
Maxine Brown: Très intéressante chanteuse soul américaine. J'ai une petite préférence pour sa période Wand rassemblée sur The Best Of Wand Years.
Nappy Brown: Chanteur R&B / Pré-soul à l'influence cruciale. Down In The Alley: The Complete Savoy Singles As & Bs 1954-1962 donne un résumé appréciable de la première partie de sa carrière.
Roy Brown: Chanteur, pianiste de blues. dont l'impact sur la création du rock'n'roll est majeure. L'écoute de Good Rockin' Tonight - The Best Of en apporte la preuve.
Ruth Brown: Tout comme son homonyme cité juste avant mais en version féminine, elle a servi de modèle à de nombreux artistes des décennies suivantes tant pour le rock'n'roll que pour la soul. The Very Best Of donne un bon aperçu de son talent.
Shirley Brown: Chanteuse soul des années 70. Woman To Woman, enregistré dans les studios Stax est splendide.
Abby Bryant: Malheureusement, elle n'a sorti un seul disque (pour l'instant ?), Not Your Little Girl, mêlant soul et roots rock et porté par une voix splendide. Il reste dans ma playlist depuis sa sortie en 2021.
Don Bryant: Chanteur de soul, auteur de standards et mari d'Ann Peebles. Célébré pour ses enregistrements pour Hi Records (Cf.The Complete Don Bryant On Hi Records), son dernier album paru chez Fat Possum en 2020, You Make Me Feel, n'a pas à rougir de la comparaison.
Mojo Budford: Encore un bluesman digne d'intérêt. Harmoniciste inspiré, chanteur habité, son talent s'exprime bien dans Mojo Workin', enregistré en 1969 et paru à titre posthume en 2020.
Jake Bugg: Chanteur britannique mélangeant indie rock et chansons à textes. Son sixième opus, A Modern Day Distraction, est dans la lignée réussie des précédents.(L'Archiviste : il est vraiment très bien, c'est vrai et est aussi passé à Taratata ... Ok, j'arrête avec cela!)
Billy Bullock & The Broken Teeth: Excellent groupe français à l'énergie brute. Leur premier album, Sonic Distorsion In A Social Context possède un impact inspiré par MC5.
Eric Burdon: Un des plus grands chanteurs à la carrière variée de ses débuts avec les Animals à sa carrière solo actuelle en passant par War. Il a su conserver son intégrité et sa voix (!) comme le prouve son dernier album 'Til Your River Runs Dry paru en 2013. (L'Archiviste : Je l'avais vu à Hambourg pour la tournée de ce trés bon album et ses versions reggae de ses grands classiques étaient excellentes)
Sonny Burgess: Cité par Patrick pour sa magnifique période rockabilly des 50's,  je rajouterais Tennessee Border  enregistré en 1992 avec Dave Alvin. Un disque très plaisant à écouter.
Jimmy Burns: Un bluesman de la nouvelle génération dont j'écoute le premier disque, Leaving Here Walking avec un plaisir toujours renouvelé.
Harold Burrage: Chanteur R&B connu pour ses enregistrements blues chez Cobra. P-Vine a sorti Pioneer Of Chicago Soul dans une veine plus soul. Une petite merveille.
James Burton: Guitariste de session incontournable pour un nombre incalculable d'artistes (Elvis Presley, Ricky Nelson, Dale Hawkins etc)...Il n'existe malheureusement pas de compilation officielle relatant l'étendue de son talent.
Paul Butterfield Blues Band: Un des plus célèbres groupe de blues rock américain regroupant une série de musiciens talentueux. An Anthology: The Elektra Years est le témoignage probant de leur période la plus prolifique.
The Bye Bye Blackbirds: Groupe de Oakland (Californie) entre indie rock et powerpop.  We Need The Rain demeure l'album que je préfère.
Jay Byham: Jeune chanteur de power pop au talent indéniable dont le second album est paru il y a quelques mois. Je garde cependant un petit faible pour sa première production éponyme.

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Patrick Bainée pour l'intro


 










 

 



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