DISCOTHÈQUE FROM A TO Z & BACK AGAIN – Part 4 – lettre B
Mon groupe favori en B, ce sont les Box Tops, mais j’en parlerai à la lettre C, comme Lx. Celui que j’aime le moins c’est sûrement Bon Jovi (L'Archiviste : son duo avec Willy Deville pour Save The Last Dance dans Taratata est pas mal non ?), de mauvaise fois, je n’ai jamais vraiment écouté de rock FM.
Plus
sérieusement (drums roll, please), en reprenant la trame commencée avec la
lettre A :
B comme tout d’abord Solomon Burke, dont j’ai
déjà parlé plusieurs fois dans des articles précédents
https://monstres-sacres.blogspot.com/2024/08/you-know-singer-not-album-part-2.html. Que dire de plus que
tous ses disques sont indispensables et très variés.
Parmi mes
autres favoris, et dans des genres différents, il y a les californiens Brentwoods,
le groupe de Karen, ex Supercharger (ceux de Radio X), cinq singles et un album
garage inspirés, les brésiliens inclassables Thee Butchers Orchestra,
des cassettes au départ, dernier album sur Voodoo Rhythm, j’aime tout.
Marco Butcher a ensuite participé à plein de projets plus ou moins blues ou
garage.
Parmi les
monstres sacrés ou dinosaures, il y a bien sûr les Beatles (je n’ai pas tout,
n’aime pas trop Sergent Pepper, peut-être parce que j'ai uniquement écouté l'horrible version stéréo) et les disques solos, les Beach Boys, William
Bell, Chuck Berry – j’en profite pour citer au passage deux Berry moins
connus – Richard Louie Louie, Have Love Will Travel, The Big
Brake, etc, mon préféré – et les Bel Raves, le groupe surf / hot rod des frères
Lou et Red Berry. Il y a aussi Blondie, dont j’aime toujours bien le premier
album et quelques singles pré discoïdes, David Bowie, James Brown – beaucoup
d’autres Brown, à commencer par Findlay et son superbe album Love
Will Find You (2009, je citerai les autres Brown dans les listes Lux
& Ivy’s faves (LAIF) et Dan Penn (DP) – Buzzcocks, dont je n’ai
gardé que les singles et le LP de démos pré LP’s, et les Byrds, bien sûr,
ainsi que pas mal de disques solos, de Gram Parsons surtout, de Gene Clark et
de Roger McGuinn.
Parmi les un peu moins connus – tous genres confondus hors français, LAIF, DP, soul, R’n’B et R’n’R et toujours par ordre alphabétique – j’ai envie de citer (environ un sur trois des artistes dont je possède des disques) : Burt Bacharach (Make It Easy on Yourself, la compile The Magic Of BB), Badfinger, petits protégés des Beatles à la carrière et vie tragiques, j’ai deux best of, Bantam Rooster, un des quelques groupe garage dont je ne me suis pas lassé, avec les suédois Blacks et les anglais Black Time. On a parlé des Brown, il y a aussi pas mal d’autres Black : Black Keys, Black Lips, bof, Black Rebel Motorcycle Club, dont certains albums s’écoutent encore pas mal. Je reprends l’ordre alpha avec les Barracudas et dérivés / solos (Fortunate Sons, …), que j’ai beaucoup aimé à l’époque. Je me rappelais le 1er album, truffé de classiques, avant de le réécouter il y a quelques années, très déçu. Reste les morceaux composés et / ou chantés par Chris Wilson sur les suivants. Suivent Barry & The In-Group et les Baskerville Hounds, garage 60’s tous les deux, Bassholes, garages 90’s, Batman & Robin, garage 00’s, le one man band BBQ, dont je n’ai pas retrouvé dans les albums l’énergie du concert que j’avais vu de lui à Brooklyn en 2006, Bebe Buell, la mère de… (L'Archiviste : À propos, Steven Tyler, c'est aussi du rock FM pour toi ?😉), et son single Little Blag Egg / Funtime d’Iggy, Beck, pour son split single avec Jay Reatard, Gamma Ray, une merveille (surtout par JR), les Beechwoods, surtout le dernier album (pas de l’avis de tout le monde), les Bee Gees du tout début, The Bees, Voices Green & Purple et les Beavers, Chantilly Lace du Bog Bopper, The Bel-Aires, le génial Ya Ha Be Be, repris par les Gories, les Bingers et leur album de reprises géniales avec theremin, Classic Hits,les Blowtops, garage 90’s, encore, cette liste devient inter(minable), je vais faire court, supprimer des trucs peut-être meilleurs que ceux listés ci-dessus, tant pis : j’ai gardé quelques 7’’ des B-52’s, celui des B Girls (Bomp, 1979) et des Boyfriends (même label, 1978), le EP de Big Ed, pour sa reprise de Second Cousin des Flamin’ Groovies, quelques disques de Big Sandy, tous les disques des allemands Bikes et leur extension Slander Tongue (Gildas aimait aussi), pas encore écouté le tout dernier, Bit ‘A Sweet, un groupe psyché de Pennsylvanie dont l’album n'est pas top mais dont le 7’’ Out Of Sight, Out Of Mind / Is It On – Is It Off (1967) est une merveille, tout comme les singles de Hal Blaine, le batteur de la wrecking crew de Phil Spector, les Blasters des frères Alvin et le one man band Bloodshot Bill ont quelques morceaux qui tiennent la route, qu’est-ce que j’ai pu aimer les Bluebells, des écossais, et leur extension, The McCluskey Brothers, j’ai tout gardé (ça ne se vend pas), les BMX Bandits, des écossais aussi. Ah, aussi, cet album Diamond After Life des aussies (autraliens - Melbourne) Blue Stratos, que du bon, surtout les originaux, reprises des Real Kids et des Oblivians, aussi, d’autres australiens, les Breadmakers, surtout pour leur reprise du Memphis Train de Rufus Thomas. Les punk bluesy Brimstone Howl, pas écoutés depuis longtemps, les one hit wonder Brogues et leur I Ain’t No Miracle Worker, le superbe album solo d’Ernie Brooks, les Brown Brogues, de Manchester, quelques bons albums dont un hommage au Ramones (une cassette), Tim Buckley, surtout pour l’abum Greetings From LA (L'Archiviste : Son fils est aussi sympa à écouter), et pour enfin finir cette liste, le premier album éponyme de Lisa Burns reste très fréquentable, à mon avis.
Côté
français ou presque, il y a en priorité El' Blaszczyk, surtout son 1er
EP et l’album inédit À L’Hôpital, dans le genre déjanté, les deux EP’s
60’s des Blousons Noirs, sorte de Hasil Adkins français, Brigitte Bardot, sa
période Gainsbourg, Bashung, période Osez Joséphine, les rennais Bikini
Gorge, deux albums (+ 1 single) superbes, Ronnie Bird, surtout les EP’s, Bleu
Bizarre, des canadiens, avec leur album Adieu Gary Cooper, les parisiens
Blutt (3 EP’s et un album démo superbes, un album officiel moyen) et Brain
Eaters, Xavier Boussiron, ah, Xavier Boussiron et son album Rien Qu'un Cœur
De Poulet - Des Airs De Roy Orbison (1995), uniquement joué aux claviers.
Il y a aussi
de bons disques de Bach, Beethoven, Berlioz, Bruckner et dans encore un genre
différent, Chet Baker.
Comme
d’habitude, pour limiter les (encore plus) longues listes, je fais - coupe
plutôt – court en énonçant mes autres artistes favoris de la lettre B, en les
regroupant en plusieurs blocs : Lux & Ivy’s Faves (LAIF), reprise de
Dan Penn (DP), soul / R’n’B, R’n’R et le reste par ordre plus ou moins alphabétique
et en me limitant à mes favoris sur la durée.
LAIF : surtout des singles, souvent
instrumentaux, comme vous le savez désormais. On commence par Baby Sticks &
The Kingtones, avec Pigmy (1962), un morceau avec des cris d’animaux, d’oiseaux
ici, que Lux aimait bien imiter sur scène : ohaaaah, ohaaaah.
Est-ce du blues ou du jazz ? Discogs classe ça en garage. Je préfère
l’appellation novelty, dont on peut aussi qualifier Bloopers Morse Code
(novelty surf) de Stu Allen & The Bloopers (1963). Pour Gar Bacon, en
revanche, on est certain que There’s Gonna Be Rockin’ Tonight (1957),
c’est du rockabilly. Même chose pour Johnny Blue et son Runaway Guitar (1960),
(Miss) Misty Bonner avec I Can’t Sit Still (1962), Tony Butala avec Long
Black Stockings (1957), featuring Eddie Cochran à la guitare.
L’instrumental Forbidden City (1958) de John Buck & The Blazers est
une sorte de rockab aussi. Pour clore la partie rockabilly, les Cramps ont
repris Tear It Up de Johnny Burnette (1956), dont tout amateur de rockab
se doit d’avoir l’album R'n'r Trio dans sa discothèque, ils ont aussi repris Butcher Pete (1949) et Jelly
Roll Rock (1958) de respectivement Roy et Walter Brown, ainsi que Red
Headed Wowan de Sonny Burgess (1957), avec James Dickinson au chant, Faster
Pussycat des Bostweeds de Russ Meyer (1966) et Sweet Woman d’Edwyn
Bruce, lors de leurs premières répètes, avec Lux à la guitare, aussi. Ils n’ont
pas repris mais se sont inspiré de ces chansons : Calling All Cows
des Blues Rockers (1954 – Cornfed Dames), Bust Out des Busters (1962 – I’m
Cramped). J’enchaine avec les morceaux R’n’R : tout le monde devrait
avoir dans sa collection There Was A Fungus Among Us de Hugh Barrett
& The Victors (1961), ne serait-ce que pour étonner les invités, Barbara
& The Boys, un seul 7’’ (1958) Hooty Sappleticker, dommage, B.B.
(Cunningham), Electrode, un instro de 1959, Tommy Blake avec $
F..olding Money $ (1959), Bob & Jerry, Ghost Satellite (1958).
On est dans le R’n’R horror avec The Living Dead de Jim Burgett (1961)
et Vampira de Bobby Bare (1958). Encore un instrumental, Tremblin’
de Birdie Green (1962), je continue la liste avec Tommy Brown & The Tom Toms et leur Tomahawk (1960), Butch Paulson, génial Man From Mars et Ruby
Baby de Cody Brennan & The Temptations (tous les deux de 1961).
Côté soul /
R’n’B, doo wop, il y a les Bangers avec Baby Let Me Bang Your Box, Parts 1
& 2 (1965), tout un programme, Johnny Beeman et ses Laffin‘ ou Rockin’
Beatnik (1960), avec Watusie Freeze Parts 1 & 2 de Big Walter
& The Thunderbirds, on est dans le genre soul surf, Don’t Fuck Around
With Love est un acetate des Blenders édité sur un one sided single en 1973,
The Bracelets, post Original Bluebells, Waddle Waddle (1962) et le
fabuleux Moptity-Mope des puissants (mighty, private joke) Bosstones (1959),
c’est du doo
wop, un peu
de R’n’B avec les non moins géniales Bobbettes, I Don’t Like It Like
That Parts 1& 2 (1961). Avec Brook Bond Foods et Red Rose Tea (1962), on n’est pas loin du
jazz, The Joker de Bob Bunny & The Jackrabbits (1957), Oscar Brown
Jr. avec But I Was Cool (1960). Lux et Ivy n’appréciaient pas que les
raretés, aussi des classiques comme Green Onions de Booker T & The
MG’s. Un peu de jazz (?) avec I came To Demolish Cleveland de Stacy
Bengal & His Six Outfielders, 1959, un 78 RPM au départ et Eddie Bishop
(soul jazz ?), What Did He Say (1966), George Barnes (pop jazz ?), Trainsville
(1962). Du tango aussi, Archie Bleyer et son irrésistible Hernando’s
Hideaway (1954). Je finis cette longue liste – merci Lux et Ivy pour ces
moments de bonheur - avec le surf / hot rod : The Bumble Bees, Echo
Boogie (1963), Ray
Burden, A Hot-Rodders Dream (1960) et Edd Kookie Byrnes, Hot Rod Rock, un EP de
1959.
DP : ils sont recommandables, ayant interprété un ou plusieurs
morceaux composés par Dan Penn, et parfois produits par lui, comme The Dark End Of The Street, Do Right Woman, Do Right Man et I'm Your Puppet, mais pas que : pour les
60’s, Glenn Barber, Bobby Bare, James Barnett, notamment
un single de 1966 avec les deux faces composées par Dan Penn (Keep On
Talking et Take A Good Look), The Baron & His Pounding Piano, Beau
Dollar, Los Belkings du Pérou, le génial William Bell a
repris Do Right Woman…sur son premier album The Soul Of A Bell (que
du bon), (les) trois (seuls) singles indispensables, tous
composés par DP, dont I Do, de Ben & Spence, Bobby Blue Bland, un
des héros de DP (tout est bien) s'est réapproprié I Hate You. Il y a aussi Marcia Ball, les Bleaters, un seul single R’n’R en 1964,
des canadiens, Ken Boothe – à cause de DP, j’ai racheté des trucs reggae, alors
que j’avais tout revendu, en plus j’aime bien – Tony Borders, de nombreux
singles, trois composés par Dan Penn dont le premier, Pass The Word (1963)
spécialement pour lui, les canadiens Boutons, Bill Brandon avec sa
superbe version de Rainbow Road, chanson initialement écrite pour Arthur
Alexander, puis Strangest Feeling un peu plus tard (1970), Van
Broussard, quelques autres Brown (toutes époques) – Greg, Glenn, Ella, Floyd, Ray,
Roy, Ruth (deux morceaux pour son album A Good Day For The Blues (1999) &
T. Graham (Cf. ci-dessous), l’anglais Kenny Bernard avec sa superbe version de I
Do.
70’s : Black Velvet, encore des anglais, qui se
réapproprient un morceau écrit pour les Box Tops, Backalley Bandits, un seul album
en 1978, produit par DP qui leur a composé un morceau en plus de la cover de
Come On Over, Steve Bogard avec When My Ship Comes In, le premier de ses
trois singles, un morceau qui devait figurer sur le deuxième album de Dan Penn
resté inédit à ce jour, Joyce Bond, Benny Boyd, Let's Get Acquainted Again
pour Floyd Brown, Ella Brown, qui reprend Do Right Woman, Do Right Man, Billy
Burnette, le fils de Johnny, deux albums produits par Chips Moman, DP à la
compo et dans les chœurs, Angeline Butler, son seul LP (1970), featuring l'inédit Keep
On Keepin’ That Man, également sorti en single.
80’s et 90’s : le countryman Shane Barmby, les hollandais Bintangs,
Blue Star Blue (UK), les allemands Bluesquamperfect, Bobby Boseman, qui a
repris deux morceaux de Dan Penn sur son premier (sur deux) single, 1970, Boxcar
Willie, The Boxcars.
Plus
récemment : Martia Ball, une habituée des reprises de DP, qui lui a
composé trois chansons pour son album Roadside Attractions (2011), les Muscle
Shoals Sessions d’Amy Black, l’australien Jimmy Barnes, à l’album duquel
Dan Penn participe.
Je finis par les meilleurs et plus récents : Plain Jane In A Mustang
(2005) de Lisa Best, manager (ou ex ?) de Dan Penn, qui a composé
plusieurs morceaux pour cet album et y participe. Quant à T. Graham Brown,
c’est un des porteurs de la flamme Dan Penn, un morceau composé ensemble, We
Tote The Note, 1990, beaucoup de reprise, notamment dans son nouvel album
(mi 2024), From Memphis To Muscle Shoals.
Pour finir,
par ordre alphabétique inversé (enfin, plus ou moins), pour varier un peu, avec mention du single
quand c’est la plupart du temps leur seul discographie :
Soul / R’n’B : j’avais jusqu’à aujourd’hui classé Lavern Baker à la lettre L, ne pensant pas que Lavern était un prénom (mixte) au moment où j’ai acheté son premier disque (pour moi, le sixième en fait), Saved (1961), dédicacé depuis. Ce que je préfère d’elle ce sont les singles Jim Dandy (1956), Jim Dandy Got Married (1957) et surtout Hey Memphis, sorte d’écho à Little Sister, couplé à et Voodoo Voodoo (1961). Brook Benton dans un genre plus crooner, Jerry Butler, beaucoup de bons trucs, c’est notamment le co-auteur de I Stand Accused (1964), R.L. (rural, comme dit Tav Falco) Burnside et son petit fils Cedric, Barney Burcham, pas le meilleur 7’’ sorti sur le label Moon, Precious Love, un LP du sous-estimé Don Bryant (1969), The Wash de Brenda & The Tabulations (1964), le fabuleux Eddie Bo, New Orleans sound, qui a notamment composé Baby I’m Wise repris par Little Richard son le nom Slippin’ And Slidin’, les Blue-Belles avec I Sold My Heart To The Junkman (1962), les Blisters, encore du doo wop, avec une des meilleures versions que je connaisse de Shortnin’ Bread (1963), Otis Blackwell, auteur notamment de Fever, Great Ball Of Fire, All Shook Up, Don’t Be Cruel et Daddy Rolling Stone, pour citer un morceau présent sur son premier album de 1957, Singin’ The Blues ; le second, These Are My Songs, qui comporte tous les morceaux cités, parmi d’autres, dans des versions catastrophiques, ne sortira qu’en 1977. J’aime bien Danny Boy et son Don’t Go Pretty Baby (1958). Doo wop encore avec Itchy Koo de Hank Blackman & The Killers, chanson écrite sous un autre nom l'année précédente pour J.J. Jackson (teaser pour la future lettre J). Goin’ To The River de Bill & Will (1962) fait souvent partie de la set list des Gories. Au répertoire de Willy DeVille, il y avait Bad Boy de Big Daddy & His Boys (1958). À celui de Lx Chilton, I’ve Had It des Belle Notes (1959). You Crack Me Up de Charlie Baker est un single de 1959. Big Syl Barnes, Come On Back (1960) et deux autres singles doo wop, pour finir : Baby Jane & The Rock-A-Byes avec Hickory Dickery Dock (1963) et The Baby Dolls avec Thanks Mr Dee Jay (1961).
Rock’n’Roll / rockabilly / surf / hot rod / twist / novelty : Daryl Britt & The Blue Jeans, Lover, Lover (1959), The Brain Twist (un EP français de 1963), encore du twist avec Bowlegs & His Band, Hunky Twist (1962) et Twistin' White Silver Sands du Bill Black’s Combo (1962), un des très nombreux disques sortis par le groupe du bassiste d’Elvis, le génial It’s Witchcraft des Blue Echoes (1959), Jules Blattner avec 500 Pound Canary, une de ces novelties que j’adore, 7’’ reçu ce jour (15 novembre), tout comme le délicieux Delicious de Jim Backus & Friends (1958). Encore une novelty, Mama’s Place de Bing Day (double meutre, allo police, I want to report a murder, je ne voulais pas la tuer elle, je vous attends au bar…). Il y a plusieurs chanson qui parlent des grenouilles dans le répertoire R’n’R, dont Daddy Frog par Big Daddy with The Little Sisters (1959).Un peu de bouffe, maintenant avec Chili With Honey de Danny Bell & The Bell Hops (1962). Les A-Bones reprenaient That Jim de Mackey Beers & The Rockits (1962).
Big Star auquel j'associe Chris Bell, Frank Bango (songwriter new yorkais, au moins 6 albums à son actif), Chris Bailey, Richard Barone leader du groupe les Bongos, Barracudas, Jeff Beck (en solo, avec le Jeff Beck Group, Beck Bogert et Appice, Yardbirds), Brendan Benson en solo et avec les Raconteurs de Jack White, Big Ray (groupe anglais, proto punk, power pop), Bijou, Blessed Virgins, Jim Boggia (songwriter ricain, énorme talent!), Blind Faith (supergroupe 70s avec Clapton, Steve Winwood...), David Bowie, bien sûr, Jackson Browne, Roy Buchanan et Buffalo Tom (trio ricain).
Je me suis fait le plaisir de m'offrir le coffret de Dylan accompagné de The Band (rappelez vous le premier bootleg mis sur le marché), ce groupe a sorti un excellent premier album, le deuxième l'est tout aussi. J'adore les Bauhaus, du moins avant qu'ils ne se reforment pour le fric. Black Sabbath est cool aussi non ? (PB : non !). Le premier album de Bloc Party ne prend jamais la poussière. Patrick, je rêve où tu n'as pas évoqué Bo Diddley (ou est-il là pour la lettre D ? - oui). Bonnie Prince Billy et son I See A Darkness a également bien plu à Johnny Cash :) ... Par contre, je ne sais pas si les Buffalo Springfield aussi ... En tout cas, ils sont sur mes étagères de disques.
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