DISCOTHÈQUE FROM A TO Z & BACK AGAIN – Part 15 – lettre L


L comme Little Richard, ça tombe bien, je ne savais pas trop dans quelle catégorie le placer, R’n’R (queen), comme chez moi, ou R’n’B. J’ai failli choisir les Lonesome Savages, de Madison, dont j’ai déjà beaucoup parlé lors de précédents articles (un seul EP et un album inédit), ou encore de Connie Lingus et son génial split single Fuck Me Forever (l’autre face, c’est P. Vert), mais je me suis dit que ça ferait élitiste (un seul titre sorti), voire pervers (P. Vert).

Sinon, j’aime bien cette idée de choisir Little comme nom d’artiste. C’est parfois une histoire de taille (personne n’a pensé à prendre Little Dick comme pseudo)(L'Archiviste : Richard “Little Dick” West l'a fait, il a fait parti des Wild Bunch chers à Peckinpah), j’espère aussi d’égo par opposition à self-important nobodies, comme le dit Eric Goulden / Wreckless Eric dans sa géniale biographie A Dysfunctional Success, ou à NSVIP’s – not so very important people, version Lee Hazlewood. En revanche, je n’apprécie pas Linkin Park, notamment, rien de personnel.

Il y a aussi beaucoup de Lane, de Lee, de Los (bizzarerie de mon classement, un peu comme les El, alors que bien sûr je ne classe pas les Le en L ni les The en T), de Love, qui seront répartis dans les rubriques habituelles, en commençant par Dan Penn songwriter : Unfair a été écrit pour Laura Lee (7’’ sorti en 1964), qui a aussi repris Another Man’s Woman (1972) et adapté Uptight Good Woman en Up Tight, Good Man (1967). Je recommande tous les disques de Laura Lee. Belle version reggae de Denver par Keith Lyn with Byron Lee & the Dragonaires (1971). Habituelles reprises de The Dark End Of The Street : par Little Milton en 1968, versions reggae par Little Boy Blue en 1969 et par Baldford Lindsay en 1981, puis par Lazy Lester en 1988, par League Of Decency en 2015 et même par Courtney Love & Ryan Adams en 2010 - et de Do Right Man, Do Right Woman : Brenda Lee et George Lewis (country), tous les deux en 1970. Cry Like A Baby a eu droit à des versions par la géniale écossaise pop rock Lulu et par Trini Lopez et l’espagnol Lalo dans leurs langues natales. My Dreams (single de 1964, le reste, bof) a été composé pour Brenda Lee, Break Up The Party (single, 1965) pour Linda Gail Lewis et You’re All Too Ugly Tonight (longtemps resté inédit, le titre lui allait bien pourtant) pour son frère Jerry Lee, qui a aussi repris I Hate You sur son album Keeps Rockin’ de 1968. Voilà pour Jerry Lee dont j’ai bien entendu beaucoup d’autres disques, désolé si certains d’entre vous sont frustrés par ce genre de présentation, moi j’aime bien. S’agissant de Lewis, certains d’entre vous doivent apprécier Huey Lewis & The News, qui de leur côté ont repris You Left The Water Running (1994). Patti Labelle & The Bluebelles ont été les premières à reprendre Dreamer (1967) un morceau qui aurait dû sortir sur un single de Dan Penn deux ans auparavant. Les néo-zélandais Love Chapter ont repris Doctor God sur leur unique album de 1977. You Left The Water Running, à nouveau, qui est un morceau composé au départ pour Otis Redding, version qui n’arrive pas à la cheville de celle de Barbara Lynn (Ozen, 1966), pour qui Dan a aussi composé Trashman (il existe deux versions différentes). Elle a aussi repris He Ain't Gonna Do Right et d’autres démos sont restées inédites. Je recommande tous les disques de Barbara Lynn, qui se situent entre R’n’B et blues électrique. Par mal de reprises de I’m Your Puppet, soul par Neil Landon (7’’ de 1966), un anglais, on croirait entendre Dan Penn, Little Joe & The Latinaires (1968), belles versions reggae par Dandy Livingstone (1969) et par Jimmy London (1975), un peu moins bonne version country par la canadienne Dianne Leigh (1970). Le morceau éponyme écrit pour les Sweet Inspirations a été repris par les allemandes Die Ladies (1968) ainsi que par l’allemand aussi, décidemment, James Last (1969). Le super groupe L.A. Getaway (composé de plusieurs rock stars) a repris Long Ago sur un de ses albums en 1971, avec Spooner Oldham aux claviers. Le chanteur country Jerry Lane s’est attaqué à Tear Joint en 1974.
Dan Penn a continué à composer pour pas mal d’artistes après ses périodes Muscle Shoals et Memphis, comme par exemple pour son comparse Bucky Hoy Lindsay avec qui il a composé plusieurs morceaux pour son unique album solo (2002) Back Bay Blues, pour le premier album des new yorkais Little Buster & The Soul Brothers (1995) ou pour l’album davantage soul que country de Jim Lauderdale, London Southern (2017). Il n’y a pas une année non plus ou des artistes ne reprennent pas, pas forcément Dark End…, comme par exemple Like A Road Leading Home par Mike Lawson & Friends sur un single de 2020.

J’enchaine avec mon autre liste préférée, qui va être longue, les Lux & Ivy’s faves : le premier des six singles (+ un morceau, Voodoo Voodoo, sur la compile du même nom) de Gene La Marr & His Blue Flames, You Don't Love Me Anymore / That Crazy Little House On The Hill (1958) faisait partie de la collection de Lux & Ivy. Sur le Stay Sick Yahoo group (circa 2000), j’avais fait une fake rubrique d’un nouvel album des Cramps (après une attente de trois ans), Mama Guitar, sur lequel ils reprenaient notamment That Crazy… Certains membres ont apprécié / rêvé, d’autres non : who’s that fuckin’ moron, I ordered the record, it doesn’t exist, un truc dans ce genre. J’ai déjà dû évoquer Johnny Lance (Moses Longpiece de son vrai nom) et son seul génial single de 1963, sorti uniquement en version promo, avec deux morceaux écrits par Jody Reynolds (Fire Of Love, etc), dont The Big Tragedy, l’histoire d’un mec à qui la police annonce que sa femme est passée sous un rouleau compresseur, ce à quoi il répond je suis en train de prendre ma douche, glissez-là sous la porte svp. Encore une novelty avec (I Was A) Teenage Creature, une R’n’R horror novelty de 1958, le deuxième single (sur six) de Lord Luther. Dernière novelty (rockabilly) I Was A Teen-Age Cave Man, le second single (1958) de Randy Luck.
R’n’R un peu plus traditionnel (quoi que) avec les Lancers, qui ont sorti de nombreux disques mais un seul, tardif (1959) dans le genre de Take Me To Your Leader (cha cha cha). Wanted For Questioning est le seul single (1957) de Bob Lee, le single préféré de Miriam Linna aussi, je crois. Everybody Out’ta The Pool (1959) est un morceau, au nom approprié des Lifeguards, leur seul 7’’ (B side, 1959). Encore un little, Little Ike et son second single She Can Rock de 1959. J’avais évoqué les Loafers et leur Crazy Talk (second 7’’, 1958) dans l’article consacré aux crazy songs. Bob Luman a sorti beaucoup de disques, L&I appréciaient particulièrement son single de 1957 Red Cadillac And A Black Moustache, plus particulièrement la B side All Night Long. I Cried Tears est le troisième et dernier single de Low Rocks (1962), Jungle Fever (rien à voir avec Charlie Feathers ou les Playboys) est la B side du premier single de Lenny & The Thundertones (1960) et Gonn'a Be Loved celle du seul single de Linda And The Epics (1959). B side aussi avec le premier des trois singles de Bobby Lonero, Little Bit (1958).
Un peu de R’n’B avec The Pig de Ludaway, son seul single (1964) et The Itchy Scratch de Little Becky Cook & The Rag Mops, seul single également en 1965. L&I aimaient beaucoup Lightnin’ Slim, dont ils ont repris It’s Mighty Crazy (1957), mais aussi ses autres singles Just Made Twenty-One (1955), Rooster Blues (1959) et Nothin’ But The Devil (1960). Pour ma part, je rajouterai My Babe, un de ses derniers 7’’ (1972).
L&I se détendaient en écoutant des trucs lounge comme Taboo - The Exotic Sounds Of Arthur Lyman (1958). Je ne sais pas si c’était leur version préférée du morceau, en tout cas ils l’ont repris.
Let’s Go To The Beach est le second single (1966), un morceau garage irrésistible de Larry & The Loafers, après Panama City Blues (1961, réédité l’année suivante avec en B side Panama City Blues 1962) qui a fait le bonheur de nombreuses compiles. Garage encore avec The Leather Boy et son troisième single (sur quatre), On The Go (1967), une B side. Do It To It, un instrumental de 1965 d’un des singles des (T.K. Hulin & The) Lonely Knights est aussi une B side.
Dancin’ Little Girl est le seul single, garage surf de Li'l Dynamite & The Explosions (1966). Ivy raconte quelque part qu’elle aimait écouter l’album Satan Takes A Holiday du sataniste Anton LaVey en faisant son ménage. Je finis par Jan Pehechan Ho, le seul morceau sorti sous ce nom de Ted Lyons & His Cubs, des indiens, dont vous avez déjà dû voir la vidéo si vous êtres lecteurs de ce blog.
J’intègre quelques autres trucs dans les LAIF : le salacious rockabilly cat Jimmie Lee Maslon parce qu’Ivy, dont une photo est présente dans le booklet, a rédigé les notes de pochette de My Wild Cat Ways - 26 Hot Tracks (2014), une compile de ses trois albums (1979-81) et quelques singles. LAIF, comment ne pas évoquer aussi Herschell Gordon Lewis, le film maker - 2000 Maniacs, Bloodfeast, dont les Cramps ont envisagé un moment de tourner une part 2, Gruesome Twosome, dont le pitch, un perruquier qui prélève les scalpes de cadavres fraichement enterrés, leur a inspiré Call Of The Wighat – mais aussi le singer / songwriter, avec The Amazing Pink Holes. Les new-yorkaises (3/4, j’accorde au féminin) Lunachicks reprenaient Get Off The Road, un titre de HGL repris par les Cramps. Les Loafin’ Hyenas avaient comme membre Click Mort, cousin de Nick) qui a brièvement fait partie des Cramps et se retrouve même sur la pochette d’un single New Rose, mais ne joue pas dessus. Candy Del Mar, quant à elle, a fait partie de Los Primos après avoir quitté les Cramps.
Les Cramps se sont par ailleurs inspirés de la version, bien plus sauvage que celle d’Elvis, de Heartbreak Hotel par Buddy Love (Barry Lee), son seul single (1964). Ils ont aussi repris Green Door, un des nombreux singles de Jim Lowe (1958), I Got A Rocket In My Pocket, le deuxième single de Jimmy Lloyd (1958), ainsi que, lors de leurs derniers shows en 2006, mais jamais enregistré, My Flash On You de Love, en hommage à Arthur Lee qui venait de disparaître. Il faut bien entendu avoir les premiers LP’s de Love (ainsi que Love Lost, 2009) et les albums solo d’Arthur Lee, au moins son premier, Vindicator (1972), ah ce qu’il est beau ce morceau Everybody’s Gotta Live.

R’n’R / surf / rockab : Il existe de nombreux chanteurs ou groupes R’n’R / rockabilly dont la discographie n’est constituée que d’un single. C’est le cas de Floyd Lee, Go Boy (1959), de Little Gracie, You’re My Tarzan (1961), de Bobby Lollar, Bad Bad Boy (qui se retrouve sur la compile The Big Rumble), Tommy Lomonte, Yeah, Yeah, Yeah, 1958 aussi. Wolf Call (1959) de Lord Dent & His Invaders et Fat Man (1961) de Louie & The Fat Men ont fait le bonheur de nombreuses compiles. Bill Lehman & The Rock Itts et The Lonesome Drifter (Eager Boy, 1958) en ont sortis deux, Gene Lewis cinq sur la même période (1958-59). En revanche Myron Lee & The Caddies ont sorti pas mal de singles, dont le premier, Homicide (1959), c’était la face B, est devenu un classique. Pas mal de singles aussi pour Matt Lucas, dont une reprise inspirée du Maybellene de Chuck Berry en 1963. Bien que country, je place ici les Louvin Brothers, dont j’ai quelques disques auxquels je n’ai jamais vraiment accroché. De leur cousin, John D. Loudermilk, je n’ai qu’un single, Road Hog, 1962.

Petit paragraphe de transition avec des choses ni vraiment soul, ni rock, parfois de bon mauvais goût, comme La Lupe, une cubaine, la queen du latin soul, qui avait l’art notamment de se réapproprier des morceaux comme Fever, Don’t Play That Song ou Frenesi. Liberace, c’est du piano, Lux et Ivy adoraient aussi. Kenny Larkin, de la techno belge, on m’a certifié que Catatonic (1994) était son meilleur disque, je crois sur parole - le gars du rez-de chaussée de la boutique Rough Trade à Paris, j’ai trois disques techno grâce à lui - pas envie de comparer avec les autres.

Soul / R’n’B / doo wop / blues : Hoagy Lands a sorti beaucoup de singles, une compile trente titres est assez exhaustive, j’ai un faible pour un single de 1964, une tuerie, Baby Let Me Hold Your Hand (Professor Longhair). Denise Lasalle est une artiste mineure, peut-être, mais qui a sorti beaucoup de disques recommandables, habilement compilés sur deux CD’s en 2003 : My Toot Toot - The Definitive Anthology. Bettye LaVette a aussi sorti et continue à sortir de très bons disques. Elle se prend sur certains morceaux pour Tina Turner, son idole, on l’excuse. Do The Thing est le seul single (1967) du Earl Lett Quartet, que j’avais acheté après avoir lu le récit (Dig It!) de J.J. Rassler qui disait au chauffeur de taxi qu’un de ses morceaux soul favoris était Do The Thing, morceau qu’ils se mettent tous deux à chanter à tue-tête, le chauffeur de taxi étant l’auteur et l’interprète de cette chanson. Little Eva (Loco-Motion), c’est de la petite pop soul. Je continue par un R’n’R bluesman plus récent, Little Victor, cinq albums roots à son actif, c’est par ailleurs le cousin de Tav Falco. Un dernier little, Little Willie John, le premier interprète de Fever (1956) mais pas que, il y a aussi notamment Leave My Kitten Alone(1959), qu’il a co-écrit. Il y a beaucoup de love, dont plusieurs Ronnie Love, c’est celui de Chills & Fever, son premier (sur trois) single, 1960, qui m’intéresse ici. En dehors d’avoir assuré les chœurs pour Ike & Tina Turner, David Bowie, etc, et d’avoir inspiré les Stones, Claudia Leannear a sorti un superbe album en 1973, Phew! Je ne connais rien de et n’ai rien trouvé sur Cynthia Lloyd dont j’ai un acetate avec une superbe version de In The Land Of Make Believe, le morceau de Burt Bacharach et Hal David écrit pour les Drifters.
Blues : Lonesome Sundown et Lazy Lester sont deux des trois artistes vedettes du label Excello. Lazy est surtout connu pour I’m A Lover, Not A Fighter (1958) repris notamment par les Kinks en 1964, puis les Flamin’ Groovies, qui ont également repris Married Woman, un morceau qui se trouve sur le premier album (posthume ? Il est mort cette année-là, 1970) de Frankie Lee Sims, avec d’autres morceaux géniaux comme Lucie Mae Blues, son deuxième single (78 RPM, 1953). Leadbelly, c’est du folk blues, Bourgeois Blues (1938), repris par Tav Falco, Goodnight Irene, Black Betty (repris...). Fury Lewis, de Memphis, est un génie, ses premiers singles (78 RPM) remontent à 1927, son premier album à 1960. J’ai souvenir d’un show d’Alex Chilton, qui reprenait I Will Turn Your Money Green, durant lequel il s’amusait à reproduire tout un tas d’intros / riffs de Fury Lewis en disant les Rolling Stones ont repompé ça pour Honky Tonk Women, ça pour...  - il faudra que je réécoute ma cassette. Les Stones ont renvoyé l’ascenceur à Fury Lewis en le prenant en première partie de leur show à Memphis, où son job était de balayer les rues, en 1975 il me semble. Autres héros du blues : Lightnin’ Hopkins, qu’on ne présente plus, Papa Lightfoot, harmonica blues, plusieurs singles 50-60’s, un album et 1969, et Long John Hunter, que je connais mal, désolé – je n'ai qu’un single, une des plus belles versions de Hey Mrs. Jones, un de ses inédits 60’s ressorti par Norton.
Doo wop now : Mah Mah Chicken Pot Pie, le seul single (1963) sous ce nom des new yorkais The Leopards est un de mes singles doo wop favoris. Curtis Lee est surtout connu pour son single Pretty Little Angel Eyes (1961), produit par Phil Spector, il a sorti une vingtaine d’autres singles.
Mickey Lee Lane a sorti beaucoup de singles dans un genre R’n’B garage, dont les épatants Shaggy Dog (1964) et Hey Sah-Lo Ney (1965), qui sont regroupés sur la compile Rockin' On ...And Beyond sorti en 1995.

Un paragraphe plus court, les français : vous allez rire, j’ai gardé les premiers singles d’Amanda Lear - La Bagarre (1975) - et de Lio, Le Banana Split (1979), j’ai eu aussi le second, Amoureux Solitaires, le morceau d’Elli & Jacno époque Stinky Toys (Lonely Lovers), j’ai dû le donner. Plus sérieusement, en commençant par le plus vieux, j’ai gardé quelques disques de Little Bob Story, dont les deux premiers singles, dédicacés par les quatre lors de leur passage à la MJC de Lisieux (j’y suis né) en 1975. Il y a un autre Little, Little Buddy & The Kids, un single en 1979 sur lequel figurait une reprise inspirée du Crazy Blues de Jape Richardson. Les Limiñanas, j’aime bien, comme tout le monde, surtout leur deuxième single Je Ne Suis Pas Très Drogue, 2010, dans lequel ils citent notamment Dig It! et deux fois Kim Fowley. Los Dos Hermanos, un duo garage plus ou moins 60’s de Bordeaux, un superbe album et un EP (1993-94). Comme je l’ai déjà écrit, les Lullies, émanation des Grys-Grys, sont intéressants à voir sur scène.

Une partie du reste, garage rock, etc : je m’aperçois qu’il reste énormément d’artistes que j’aime bien à citer, je vais en éliminer et essayer de faire court pour les autres.
Je commence par le garage 60’s avec Larry & The Blue Notes, trois singles en 1965-66 dont le premier sur lequel figure le devenu classique Night Of The Phantom en B side, dont on retrouve un alternate take sur une compile de 1985 sous le nom de Night Of The Sadist. Adrian Lloyd n’a sorti que deux singles, le premier avec Justine de Don & Dewey, en 1963 et une de ses compos, Lorna, un truc givré digne d’Hasil Akins deux ans plus tard. Givré aussi, Paralyzed (1968), morceau apprécié de Lux et Ivy, et quelques autres titres du Legendary Stardust Cowboy. Lost And Found était un des quelques bons groupes du label International Artists (j’avais tout acheté, n’ai gardé que 13th Floor, Red Krayola et celui-ci), un seul LP en 1968, Forever Lasting Plastic Words.
Garage plus récent présent sur mes étagères, que j’aime encore plus (si commentaire ou en gras) ou moins, par décennie :
80- 90’s : et même 1979 avec les Lyres, dont j’aime bien quelques titres, Lazy Cowgirls, Johnny Legend, The Legendary Golden Vampires, Lighning Beat-Man, dommage que tout ne soit pas aussi bien que son premier 10’’, Wrestling Rock'n'Roll (1994), Lo-Lite, Lord High Fixers, The Lords Of Altamont, très sympas les mecs, L7, Los Marauders, de Iowa City, un album et deux EP’s aux titres évocateurs : You Make Me Cum In My Pants! Every Song We Fuckin’ Know, les surf instro Los Straitjackets, les canadiens Lost Patrol, les japonaises Lulu’s Marble, les épatants Th' Lunkheads, qui ont un album et deux EP’s à leur actif.
2000-2024 : Lamps, The Launderettes, The Leather Uppers, The Lee Van Cleefs’s Lost Finger, des italiens, un single et un mini album (feat. Dan Kroha) dispo en téléchargement sur leur Bandcamp -
https://theleevancleefslostfinger.bandcamp.com – The Leg Hounds, The Lids, avec Alix Brown, la moitié féminine des Angry Angles de Jay Reatard, Limes, The Locomotions, Los Looches, je les cite car ils sont produits par mon pote Nils, les post Black Time (anglo-finlandais) Los Raw Gospels, Th' Losin Streaks, trois superbes albums, dont un tout récent. Je me suis lassé de beaucoup de disques garage 80-00’s (voir sur scène ok), pas des Th’ Losin Streaks. Lover! / Rich Crook, sorte de Donovan of garage (pas trash) mériterait un article à lui tout seul (L'Archiviste : Tu sais ce que je réponds à ce genre de phrase Patrick ;) ). Trois albums et une dizaine de singles entre 2006 et 2010, j’ai dû assister à un de ces derniers shows à Paris début 2011, super contact. Avant Lover!, Rich a fait partie d’American Death Ray, de Lost Sounds, avec Jay Reatard et la sublime Alicja Trout, avec laquelle il a mené ensuite d’autres projets, comme Things et Sweet Knives, rien à jeter. Il y a aussi Johnny Lowebow, un one man band de Memphis, copain de Misty White qui m’a offert son (seul) single I Was A Fool, la dernière fois qu’elle est venue à la maison. L’album (le seul) de Johnny, I’m A One Man Band, est génial aussi, à vous (me) réconcilier avec les one man bands, parfois un peu lassants, et on croirait entendre Kim Fowley sur le morceau Little Darling, présent sur la compile Attack Of The One Man Bands (double CD, 2009). Johnny fabrique lui-même ses propres instruments, des guitares un peu bizarres. Je communique un peu avec lui, il aimerait bien venir jouer en Europe. Luis & The Wildfires sont davantage rockab que garage. Et les ex Chicken Snake, le duo The Luxurious Faux Furs plutôt garage blues.
Mis à part le garage, il en reste encore beaucoup, même après écrémage, même chose qu’avec le garage, liste et plus si affinité : Anita Lane, 1er album solo et celui avec Mick Harvey, Robin Lane & The Chartbusters, feat. deux ex Modern Lovers, Mark Lanegan ,si on n’est pas trop suicidaire, K.L. Lang, seulement en duo avec Roy Orbison, le premier album de Cate Le Bon (Me Oh My, 2009). Un peu d’easy listening avec son seul album (très beau, 1960), Introducing Linda Lawson, presque aussi beau que du Julie London – quelles sont belles les covers des LP’s de Julie London - intimiste aussi le norvégien Sondre Lerch, blues rock avec James Leg et le portugais Legendary Tiger Man, pub rock avec Legend, le premier album de Jenny Lewis & The Watson Twins, un peu de shoegaze avec le seul album de Lift To Experience, le premier single de la suédoise Virna Lindt, Attention Stockholm, morceau dont les paroles ont donné un nom à un groupe belge, version yaourt, reste écoutable, je trouve. Un peu de power pop, pour faire plaisir à certains de mes collègues / amis du blog, Bill Loyd, son deuxième album, Set To The Pop (1994), que j’avais acheté pour la reprise des Kinks. Tout ça dans le désordre, je contine avec (Screaming) Lord Such, un mec bien givré qui a fini par se suicider. Louis XIV, de San Diego, du rock classique, m’avait séduit le temps de deux singles. Comme tous fans des Ramones, probablement, j’ai acheté plusieurs singles des punk mélodiques anglais Helen Love. On reste au Royaume-Uni : Nick Lowe est un producteur intéressant et j’ai déjà évoqué Lulu et Luna (Dean & Britta). Je n’ai jamais trouvé la moindre info sur The L*U*V'S, j’aime bien leur (unique ?) album Hate To Sleep Alone (1998).

Ouf, fini, voilà pour moi (Patrick Bainée).

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Dans la discothèque de Gérard se trouve aussi :

Jack LEE / LMNOP / LONGDANCER / LOS LOBOS / LOVE SCULPTURE (feat Dave Edmunds) / -Roy LONEY / LONE JUSTICE / LOTHAR & HAND PEOPLE / LOOSE GRAVEL / LOLITAS (François Cactus) / LEMONHEADS / LEMON TWIGS / MJ LENDERMAN / LIME SPIDERS / THE LEEDS (from Toulouse) / Rob LAUFER / LITTLE RABBITS / Mary Lou LORD / LOLAS (power pop us) / Bill LLOYD & LOVIN SPOONFULL

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Jean-Jacques complète et ajoute :


The La's: Groupe de power pop britannique. Disque conseillé: The La's (1990).
Sleepy LaBeef:
Chanteur, guitariste de rockabilly américain. Disque conseillé: Sleepy Rocks (2008).
Jake La Botz:
Chanteur américain de rock'n'roll/americana. Disque conseillé: Sunnyside (2017).
Jimmy LaFave:
Songwriter de rock américain. Disque conseillé: Austin Skyline (1992)
The Laissez Fairs:
Groupe de rock garage/ mod américain. Disque conseillé: Cryptic Numbers (2025).


Dany Laj (and The Looks): Songwriter rock, power pop canadien. Disque conseillé: Ten Easy Pieces (2021)
Christine Lakeland:
Chanteuse américaine de rock. Disque conseillé: Fireworks (1989).
The Lambrettas:
Groupe de revival mod. Disque conseillé: Da-a-a-ance (2002)
Lancashire Bombers :
Groupe de rock garage londonien. Disque conseillé: No Fun So Sun (2024).
Bobby Lance:
Songwriter américain de blue eyed soul. Disque conseillé: Rollin' Man (1972).


Dawn Landes: Songwriter folk, rock du Kentucky. Disque conseillé: Meet Me At The River (2018).
Nikki Lane:
Chanteuse de country américaine. Disque conseillé: Denim & Diamonds (2022).
Acantha Lang:
Chanteuse de soul de la Nouvelle Orleans. Disque conseillé: Beautiful Dreams (2023).
Martin Lang:
Chanteur, harmoniciste de blues américain. Disque conseillé: Ain't No Notion (2017).
La Perra Blanco:
Chanteuse 
espagnole de rockabilly. Disque conseillé: Get It Out (2024).

  

 


Laraigné:
Chanteur suisse de rock teinté de folk. Disque conseillé: The Brightside Of It All (2022).
John Larson & The Silver Fields:
Groupe américain de power pop. Disque conseillé: Rumble Candy (2025).
Ron Lasalle:
Songwriter rock américain. Disque conseillé: Nobody Rides For Free (2007).
The Last:
Groupe de rock de la scène Paisley de Los Angeles. Disque conseillé: L.A. Explosion ! (1979).
The Last Killers:
Disque de garage rock italien. Disque conseillé: Dangerous (2015).

 

 

 
The Last Rock'n'Roll Band:
Groupe de rock punk. Disque conseillé: The Last Rock 'N' Roll Band (2007).
The Late Show:
Groupe de power pop américain. Disque conseillé: Sha La La (2018).
Late Slip:
Groupe de rock pop avec une touche girl groups. Disque conseillé: I Love You (2024).
The Lathums:
Groupe anglais de rock indie. Disque conseillé: Matter Does Not Define (2025).
Latvian Radio:
Groupe suédois de rock, power pop. Disque conseillé: Kill The Static (2012).

 

 

 
J.T. Lauritsen (& The Buckshot Hunters):
Groupe de blues, soul américain. Disques conseillés: Blue Eyed Soul Vol 1 et Vol 2 (2018 et 2020).
Lava Fangs:
Groupe australien de power pop. Disque conseillé: Sub Auroram (2024).
Wayne Lavallee:
Songwriter folk, blues, rock canadien. Disque conseillé: Trail Of Tears  (2009).
Cindy Lawson:
Chanteuse, songwriter de rock américaine. Disque conseillé: New Tricks (2022).
Lazy Cowgirls: cité à juste titre par Patrick. Disque conseillé: The Lazy Cowgirls (1985).

 

 

 
Lazy Susan:
Groupe australien de rock indie. Disque conseillé: Long Lost (2001).
Andrew Leahey:
Songwriter roots rock américain. Disque conseillé: Airwaves (2019). Un nouvel album est attendu pour octobre 2025.
Leather Catsuit:
Groupe de rock garage new yorkais. Disque conseillé: Leather Catsuit (2023).
The Leaves:
Groupe de folk rock américain des années 60. Disque conseillé: ..Are Happening! The Best Of The Leaves (2000).

 

  
Calvin Leavy:
Chanteur, guitariste de blues et soul américain des années 70. Disque conseillé: The Best Of (2000).
Frankie Lee:
Songwriter de musiques roots américain. Disque conseillé:  Stillwater (2019).
Fred Lee:
Groupe de folk rock suédois. Disque conseillé: Sleepwalking In Daylight (2021).
Gabe Lee:
Songwriter country/honky tonk/folk américain. Disque conseillé: Drink The River (2023).

  
Jack Lee:
Cité à juste titre par Gérard. Chanteur, songwriter powerpop (ex Nerves) Disque conseillé: Bigger Than Life (2016).
Jackie Lee:
Chanteur soul des années 60. Disque conseillé: The Mirwood Masters (2010).
Latasha Lee:
Chanteuse soul contemporaine américaine. Disque conseillé: Latasha Lee & The Black Ties (2013).
Tim Lee:
Songwriter rock roots américain. Disque conseillé: Concrete Dog (2006).

 

  
The Left Banke:
Groupe de rock/pop américain. Disque conseillé: There's Gonna Be A Storm (The Complete Recordings 1966-1969) (1992).
Legacaster:
Guitariste country, rockabilly argentin installé en Espagne. Disque conseillé: Doin’ The Truck With Legacaster (2022).
The Legal Matters:
Groupe de power pop américain. Disque conseillé: Chapter Three (2021).
Legend:
Groupe britannique pionnier de la scène pub rock britannique. Disque conseillé: Legend (1971).

 


Johnny Legend: Chanteur de rockabilly américain. Disque conseillé: The Rollin Rock Sessions (2015).
The Legendary Blues Band:
Groupe de blues américain. Disque conseillé: Money Talks (1993).
Legendary Lovers:
Groupe de rock garage suédois. Disque conseillé: A Dent In The Bigtime (1987).
The Legendary Swagger:
Groupe de rock américain. Disque conseillé: Broken & Broke (2025).

 

 

 
Jerry Leger:
Songwriter, chanteur canadien. Disque conseillé: Waves Of Desire 
(sortie octobre 2025).
The Lemon Drop Gang: Groupe de rock garage américain. Disque conseillé: Somethin' (2025).
The Lemon Twigs:
Cité à juste titre par Gérard. Groupe de powerpop américain. Disque conseillé: A Dream Is All We Know (2024).
The Len Price 3:
(Salut amical à Jacques B. !): Groupe de rock garage britannique. Disque conseillé: Ipdipdo (2022).

 

  
 

Kim Lenz: Chanteuse songwriter américaine de rockabilly . Disque conseillé: Slowly Speeding (2019).
The Leopards:
Rien à voir avec le groupe (excellent) de doo wop cité par Patrick. Groupe de powerpop américain. Disque conseillé: Kansas City Slickers (1978).
The Leroi Bro(ther)s:
Groupe de rock texan. Disque conseillé: Lucky Lucky Me (1985).
Ketty Lester:
Chanteuse soul des années 60. Disque conseillé: Love Letters (1997).

 

 
Let's Active:
Groupe powerpop américain. Disque conseillé: Every Dog Has Its Day (1988)
Ben Levin:
Pianiste, chanteur de blues américain. Disque conseillé: Take Your Time (2022).
Levitation Room:
Groupe de rock psychédélique américain. Disque conseillé: Strange Weather (2024).
Doug Levitt:
Songwriter américain. Disque conseillé: Edge Of Everywhere (2023).

 

 

Black Joe Lewis & The Honeybears: Groupe soul/funk contemporain. Disque conseillé: Scandalous (2011).
Dave Lewis:
Songwriter nord-irlandais rock à influences soul rhythm'n'blues. Disque conseillé: From Time To Time (1976).
Famille Lewis:
Dans un même chapitre les trois membres de la famille Lewis. En premier lieu, Jerry Lee, le killer rockabilly. Disque conseillé (dur, dur !): The Sun Singles Collection (2016). Sa soeur, ensuite, Linda Gail, disque conseillé: Rockabilly Queen (2024). Pour en terminer, la fille de Linda Gail, Annie Marie, disque conseillé: Barbwire Heart (2015).


 

 
Harriet Lewis:
Chanteuse de soul contemporaine. Disque conseillé: Harriet Lewis & Gregor Hilden Band – Soulful Stew (2010).
Jimmy Lewis:
Chanteur soul américain ayant débuté sa carrière dans les années 60. Disque conseillé: Still Wanna Be Black (1997).
Lew Lewis:
Chanteur, harmoniciste de pub rock. Disque conseillé: Boogie On The Street Again! (1999).
The Liars:
Groupe italien à tendance psychédélique. Disque conseillé: Never Looked Back (2018).
Tess Liautaud:
Chanteuse, compositrice franco-américaine. Disque conseillé: Blue Mind (2024).

  
Librarians With Hickey:
Groupe de powerpop américain. Disque conseillé: How To Make Friends By Telephone (2024).
Lie Detectors:
Groupe de rock garage du pays basque espagnol. Disque conseillé: Masaje Uzbeko (2024).
Joe Liggins: 
Chanteur, compositeur, pianiste de rhythm'n'blues américain des années 40 et 50. Disques conseillés: The Chronological Joe Liggins 1944-1946, 46-48, 48-50, 50-52 (2001-2005).
The Limboos:
Groupe de Rhythm'n'Blues espagnol. Disque conseillé: Baia (2019).

  

Lime Spiders: Cité à juste titre par Gérard. Groupe de rock garage australien. Disque conseillé: Slave Girl (1985).
The Linda Lindas:
Groupe pop punk, rock californien. Disque conseillé: No Obligation (2024).
Eric Lindell:
Songwriter américain de rock à influences country et folk. Disque conseillé: Revolution In Your Heart (2018).
Colin Linden:
Songwriter, guitariste, chanteur, producteur canadien de musique rock roots, blues. Disque conseillé: South At Eight North At Nine (1993).
The Linkers:
Groupe de rock garage bordelais. Disque conseillé: Voodoo Eyes (1995).


 
Esa Linna:
Songwriter, multi-instrumentiste powerpop finlandais. Disque conseillé: This Is Who I Am (2013).

Erroll Linton:
Harmoniciste et chanteur de blues britannique. Disque conseillé: No Entry (2020).
Linus Of Hollywood (James Kevin Dotson):
Artiste multi-instrumentiste, songwriter américain de powerpop. Disque conseillé: Something Good (2014).
Lipstick Killers:
Groupe de rock garage australien. Disque conseillé: Mesmerizer (1984).

 

 
The Liquorice Experiment:
Groupe de rock garage londonien. Disque conseillé: How Many Lies (2023).
Brian Lisik:
Musicien, chanteur, songwriter de rock américain. Disque conseillé: The Mess That Money Could Buy (2012).
Jeff Litman:
Artiste multi-cartes (songwriter, chanteur, producteur...) de powerpop américain. Disque conseillé: Outside (2012).
The Litter:
Groupe de rock garage, psychédélique américain des années 60. Disque conseillé: Distorsions (1967).
Little Bob:
Cité à juste titre par Patrick. Personnage incontournable et inusable de la scène rock française. Disques conseillés: avec Little Bob Story: Livin' In The Fast Lane (1977), avec Little Bob Blues Bastards: Howlin' (2015) et en solo, Lost Territories (1993).

 



Little Buster:
Cité à juste titre par Patrick. Chanteur, guitariste de blues et soul américain. Disque conseillé: Little Buster And The Soul Brothers – Right On Time! (1995).
Little Mike & The Tornadoes:
Chanteur, harmoniciste de blues américain. Disque conseillé: Flynn's Place (1995).
The Little Miss:
Artiste de Los Angeles aux multiples influences. Disque conseillé: Best Self (2021).
Little Rachel:
Chanteuse de rockabilly texane. Disque conseillé: Little Rachel & The Hogs Of Rhythm – When A Blue Note Turns Red Hot (2009).

 


Little Roger & The Houserockers:
Groupe de blues en provenance d'Allemagne. Disque conseillé: Jumping At Jack’s Joint (2009).
The Little Roosters:
Groupe de rock, pub rock anglais. Disque conseillé: The Little Roosters (1981).
Little Sonny:
Chanteur, harmoniciste de blues, soul, funk américain. Disque conseillé: New King Of The Blues Harmonica (1969).
Little Steven:
Guitariste, chanteur, producteur, animateur radio, acteur américain. Disque conseillé: Little Steven And The Disciples Of Soul – Macca To Mecca! Live At The Cavern Club, Liverpool (2021).

 
Little Tony:
Chanteur de rock'n'roll italien. Disque conseillé: Little Tony And His Brothers – The Rock And Roll Years Plus Complete Decca Singles (2021).
Little Village:
Projet réunnissant Nick Lowe, Jim Keltner, Ry Cooder et John Hiatt n'ayant sorti qu'un seul disque éponyme (1992).
Little Walter:
Harmoniciste, chanteur de blues américain. Disque conseillé: The Chess Years 1952 - 1963 (1992).
Little Willie Littlefield:
Pianiste, chanteur de rhythm'n'blues américain. Disque conseillé: The Best Of The Rest - Selected Recordings From Eddie's, Federal & Rhythm Years 1948-1958 (2018).



 

 
John Littlejohn: Chanteur, guitariste de blues américain. Disque conseillé: John Littlejohn's Chicago Blues Stars (1969).
Live Wire:
Groupe de la scène pub rock britannique des années 70/80. Disque conseillé: Changes Made (1981).
Livingstone Daisies:
Groupe de powerpop australien. Disque conseillé: Don't Know What Happiness Is (2013).
Bill Lloyd:
Cité à juste titre par Gérard. Artiste powerpop à multiples facettes (chanteur, songwriter, producteur, instrumentiste. Disque conseillé: Boy King Of Tokyo (2012).

 
Loaded Dice:
Groupe de powerpop australien. Disque conseillé: No Sweat (1979).
Los Lobos:
cité à juste titre par Gérard. Groupe de rock américain aux influences tex-mex, country, rhythm'n'blues...Disque conseillé: How Will The Wolf Survive? (1984).
Local Drags:
Groupe américain de rock à tendances punk, powerpop. Disque conseillé: Shit's Lookin' Up (2019).
Lily Locksmith:
Chanteuse suédoise de rock influencée par les 50's (rock'n'roll, blues, R&B). Disque conseillé (et malheureusement posthume): Lily Locksmith (2022).

 

 
John 'Juke' Logan:
Chanteur, harmoniciste de rock, blues, rhythm'n'blues américain. Disque conseillé: The Chill (1993).
Lojo & The Mojos:
Groupe de rockabilly espagnol. Disque conseillé: Bumblebee (2024).
Lolas:
Cité à juste titre par Gérard. Groupe de powerpop américain. Disque conseillé: Big Hits And freak Disasters (2025).
Lolitas:
Cité à juste titre par Gérard. Disque de rock franco/italien installé à Berlin. Disque conseillé: Lolitas (1986).

 
Lolo:
Chanteuse de rock'n'roll américaine. Disque conseillé: X (2021).
London Cowboys:
Groupe de (punk) rock britannique. Disque conseillé: Animal Pleasure (1982).
Lone Justice:
Cité à juste titre par Gérard. Groupe de rock à influences country américain. Disque conseillé: Lone Justice (1985).
The Lonely Dogs:
Groupe de rock français. Disque conseillé: In Your Face (2021).

 

 
The Lonesome Savages:
Patrick en parle plus haut et ici.
Lonesome Sundown:
Cité à juste titre par Patrick. Guitariste et chanteur de swamp blues. Disque conseillé: I'm A Mojo Man (1994).
Roy Loney:
Cité à juste titre par Gérard. A l'origine chanteur des Flamin'Groovies. Chanteur de rock leader de différentes  et brillantes formations par la suite. Disque conseillé: A Hundred Miles An Hour 1978-1989 (2009).
The Long Ryders:
Groupe de rock américain influencé par la country et les 60's. Disque conseillé: Final Wild Songs (2016).

 


Long Tall Shorty: 
Groupe de revival mod de la fin des années 70. Disque conseillé: Completely Perfect (2002).
Claudine Longet:
Actrice, chanteuse française de rock/pop. Disque conseillé: Let's Spend The Night Together (1972).
The Loons:
Groupe de rock garage/psyché américain. Disque conseillé: Memories Have Faces (2024).
Loose Cattle:
Groupe de country rock/americana américain. Disque conseillé: Sometime's Monster (2024).


Loose Diamonds:
Groupe américain rock roots. Disque conseillé: Burning Daylight (1993).
Loose Gravel:
Cité à juste titre par Gérard. Groupe de rock américain des années 70. Disque conseillé: Thanks For The Memories (1992). (L'Archiviste : Hervé en a très bien parlé ici).
Loose Lips:
Rock trio australien mélangeant garage et powerpop. Disque conseillé: Last Laugh (2025).
Christian Lopez:
Songwriter américain de rock/americana. Disque conseillé: The Other Side (2021).

 
Lora & The Stalkers:
Groupe italien pop/girl groups. Disque conseillé: No Desire Control (2021).
Lord Diabolik:
Groupe français de rock garage. Disque conseillé: Plus Cool Que Toi (2023). Un nouveau disque "Jukebox Mental" est annoncé.
Lord Rochester:
Une nouvelle occasion de saluer notre ami Jacques B. Groupe de rock garage britannique. Disque conseillé: Mess Around! (2025).
Tommy Lorente (alias Tommy Reltone):
Chanteur, guitariste, songwriter de powerpop français. Disque conseillé: Stupefaction (2018).

 
Les Lou's:
Groupe français de rock punk des années 70. Disque conseillé: Wild Fire (2021).(L'archiviste : Voir notre interview ici)
Louisiana Red:
Chanteur, guitariste de blues américain. Disque conseillé: No Turn On Red (2005).
Darlene Love:
Chanteuse de rhythm'n'blues/pop américaine en solo et avec les Blossoms, Bob B. Soxx & The Blue Jeans (production Phil Spector). Disque conseillé: So Much Love: A Darlene Love Anthology 1958-1998 (2008).
The Love Light Orchestra:
Groupe de blues de Memphis. Disque conseillé: Leave The Light On (2022).
The Love Me Nots:
Groupe de rock garage américain. Disque conseillé: Sucker (2014).

 
Love Sculpture:
Cité à juste titre par Gérard. Premier groupe de Dave Edmunds, mélange de blues, rock 50's et 60's. Disque conseillé: Forms And Feelings (1970).
The Loved Ones:
Groupe de rock américain des 90's à tendance mod/R&B. Disque conseillé: Better Do Right (1994).
The Loved Ones (AUS): Groupe de rock garage australien. Disque conseillé: Magic Box (1967).
Lydia Loveless: Chanteuse, songwriter américaine de country alternative. Disque conseillé: Something Else (2024).

 
Karen Lovely:
Chanteuse de blues américaine. Disque conseillé: Fish Out Water (2017).
Lovin' Spoonful:
Cité à juste titre par Gérard. Groupe de folk-rock américain. Disque conseillé: French 60's EP Collection (1995).
The Low Spirits:
Groupe de rock garage américain. Disque conseillé: Can't Love You Back b/w Treatin' Me Bad (2025).
Nick Lowe:
Cité par Patrick comme producteur. C'est également un excellent songwriter et bassiste de powerpop, rock influencé par les 50's et 60's. Disque conseillé: Quiet Please… The New Best Of Nick Lowe (2009)
The Lowland Brothers: Groupe français de rock aux influences blues, soul. Disque conseillé: Over The Fence (2024).

 


 
The Loyal Cheaters: Groupe de rock garage italien. Disque conseillé: And All Hell Broke Loose (2024).
Lucinda Slim:
Chanteuse de soul/funk belge. Disque conseillé: Lucinda Slim & The Law Men & The Haggis Horns – Lucinda Slim (2015).
Lucky 7:
Groupe de rock américain mêlant tex-mex, rockabilly et zydeco. Disque conseillé: Get Lucky (1987).
Lucy & the Rats:
Groupe de rock garage, powerpop londonien. Disque conseillé: Got Lucky (2020).

 
Corey Lueck:
Chanteur, harmoniciste de blues canadien. Disque conseillé: Corey Lueck And The Smoke Wagon Blues Band – It Ain't Easy (2012).
Chris Lujan;
Chanteur, multi-instrumentiste, producteur de latin soul. Disque conseillé: Chris Lujan & Electric Butter Feat Andre Cruz – The Real Thing (2022).
Lùlù
: Groupe de rock, powerpop lyonnais. Disque conseillé: Lùlù (2024).
Les Lullies:
Cité à juste titre par Patrick. Groupe de rock garage montpellierain. Disque conseillé: Une Nuit à Leipzig (2025). La vidéo suivante est la confirmation des propos de Patrick et une allusion amicale à notre ami l'Archiviste

 
Lydia Lunch:
Chanteuse punk, new wave britannique. Disque conseillé: Lydia Lunch & The Devil Dogs Bitchin' Blues (1980/2023).
Chris Lund
Songwriter, chanteur de powerpop américain. Disque conseillé: Surveillance (2025).
Corb Lund:
Songwriter, chanteur canadien de roots rock, country. Disque conseillé: El Viejo (2024).
Pat Lundy:
Chanteuse soul des années 60, puis disco. Disque conseillé: Soul Ain't Nothin' But The Blues (1968).
Walter Lure:
Guitariste de punk rock américain. Disque conseillé: Walter Lure & The Waldos – Wacka Lacka Loom Bop A Loom Bam Boo (2018).

 
The Lurkers:
Groupe de punk britannique. Disque conseillé: Fulham Fallout (1978).
The Lust-O-Rama:
Groupe de rock garage suédois. Disque conseillé: Pure Lust (1998). (L'Archiviste : voir notre interview de Arne ici )
Trudy Lynn:
Chanteuse de soul et blues américaine: Disque conseillé: Golden Girl (2022).
Lynwood Slim:
Chanteur et harmoniciste de blues américain. Disque conseillé: Lynwood Slim & Junior Watson – Back To Back (1998).
Freddy Lynxx:
Chanteur, guitariste de rock, punk rock français. Disque conseillé: Freddy Lynxx & The Corner Gang – Bloodied Up (1999). Un cordial salut à Laurent Ciron par la vidéo suivante.

 

The Lyres: Cité à juste titre par Patrick. Groupe de rock garage américain. Disque conseillé: On Fyre (1984). (L'Archiviste : Mercie à Jacques pour son article)

Je rajoute à cette longue liste Stacy Lane, un excellent chanteur de soul sudiste qui n'a sorti que quelques titres dans les années 60 et 70.  On peut retrouver certains d'entre eux sur les compilations "Heart Of The Southern Soul" Vol 1 et Vol 2 (1994 et 1995).




 

 

Bernard se souvient de :

Lard Free : Rock progressif français, 70's


Lard Free

LeidenschaftCold wave française de Le Havre (1986), "Who Cares,", "The Cities Of The Red Night", "A Long Way", une K7 et un EP chez GMG/L'Evasion

LEIDENSCHAFT

Letch Patrol : Punk, NYC, "Love Is Blind"/"Axe To Grind" (Electric Shaman Records,1988).

LETCH PATROL AXE TO GRIND

Lew Lewis :

LEW LEWIS REFORMER LIVE AT DINGWALLS 12/1979

Ligeia, Rock progressif français 70's, pas d'enregistrement connu mais a joué au Gibus Club.

Little Buddy & The Kids : De Paris, Rock'n'Roll, deux simples (Rocky Productions). 


SP Honeymoon; 1978


"At My Front Door"/"Rock Boppin' Baby.

The Little Roosters : Un album sur Polydor en 1981 produit par Joe Strummer. The Little Roosters ont accompagné Johnny Thunders au Gibus Club.

THE LITTLE ROOSTERS

Loco Lizard : Rock, USA-France (ex Freddy Lynxx & The Jet Boys), 90's, un titre, "Dirt" sur la compilation "I Wanna Be A "Stooges" (CD Mig 58, Revenge, 1996).

 

Hervé COLOMBET : 

Difficile d'être original et consistant lorsque l'on se réveille dans les derniers ! 

LEADBELLY, j'ai un 78 tours (avec le GOLDEN GATE QUARTET), jamais écouté !  Idem pour Huddie LEDBETTER ...

Sinon, 2 45 tours intéressants de Calvin LEAVY, sur SOUL BEAT records : "Is It Worth All (That I'm Going Through)" et "Goin' To The Dogs, Pt. 1". Blues classique, mais agréable.

Toujours en blues, on peut citer aussi LEFTY DIZZ, intéressant, mais que je trouve un peu limité comme guitariste. L'album " Somebody Stole My Christmas" est sorti sur ISABEL records en France en 1980.

Personne n'a cité LIL' ED ? C'est le neveu de J.B. HUTTO. Il lui a appris la slide. J'aime beaucoup. C'est du blues rock JOYEUX, une belle pêche. J'ai 2 albums : " Roughhousin'" (1986) et "Chicken, Gravy & Biscuits" (1989), tous 2 sur ALLIGATOR records. 

J'aime bien aussi, de temps en temps, LEFT LANE CRUISER pour leur côté "sâle" !!! 

Pour finir, j'ai plusieurs albums de Jackie LYNTON. Mais ce ne sont pas ses albums qui m'ont intéressé. Allez, j'ose le dire : c'est lui qui introduit le groupe STATUS QUO sur leur double album live de 1977, "Status Quo Live". Il hurle, il s'époumone : "Is there anybody out there that wants to rock? ?????  YEAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!   Is there anybody out there that wants to roll? ?????  YEAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!   and Is there anybody out there that wants to boogie  ? ?????  YEAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!  Tonight .... Lord ................................ Glasgow .... We have the number one rock'n'roll band in the land, will you welcome ??? The magnifiscent ............ STATUS ............. QUO .........  Une intro de légende. Et le groupe arrive sur scène et embraye avec les accords magiques de "Junior's Wailing".... Oh oui ! Que c'est bon, de temps en temps, de réécouter ça. Essayez ! 


L'Archiviste :

Merci Hervé, c'est dur pour quelqu'un qui ne supporte pas Status Quo d'écrire à la suite d'une telle tirade. Oui, ils sont talentueux ... mais je n'y peux rien, je ne les supporte pas et je n'ai aucun argument. Peut-être les ai-je trop entendus, ils sont adorés en Allemagne et on les entend tout le temps.😉

Du coup, j'enchaine sur Led Zeppelin, je les ai entendus pour la première fois suite à ma découverte du Hair-Metal. J'étais jeune et ai pensé qu'ils étaient bien moyens face à la scène de Los Angeles de l'époque. Comme j'ai écrit, j'étais jeune et suis bien revenu sur cette opinion !

Laibach m'a également beaucoup impressionné par leur musique (et dégoutés par leur utilisation d'une idéologie répugnante). En tout cas leur Leben ist Leben est bien meilleur que le Life is life français !



Le premier album des Last Shadow Puppets est également super (je n'ai pas entendu le deuxième), leur mélange de rock indie et des sonorités à la Ennio Morricone est une vraie réussite. Les Libertines ont aussi été cools à leurs débuts.

J'aime bien aussi quelque-chose qui a vraiment mal vieilli, vous vous rappelez des Lords Of The New Church ? Eh bien voilà une vidéo !



 Une légende en Allemagne est Udo Lindenberg. Un peu comme Johnny Hallyday, sauf que lui a su conserver son aura culte en restant cool sans beaufitude. Il habite depuis des années à St Pauli, il a même eu son biopic. Son look est un peu limite, mais Alice Cooper a aussi un look particulier. Voyez leur duo sur No More Mister Nice Guy et à la lettre M !!!!



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LE DISQUE DE LA SEMAINE