Articles

Affichage des articles associés au libellé ROCK CLASSIQUE

MEMORABILIA - BILL HURLEY & THE DEAD BEATS - GIBUS, PARIS, 25 SEPTEMBRE 1987

Image
De ce concert, je n’ai gardé aucun souvenir des morceaux interprétés. Et alors que je conservais précieusement tous les tickets d’entrée, je n’ai ici aucun document personnel susceptible de me rafraîchir la mémoire. Seule la date est certaine : 25 septembre 1987. Parce que je l’ai notée dans un album-photo. Car des photos, oui, j’en ai fait ce soir-là. Parce que Bill Hurley était l’une de mes idoles (et l’est toujours, malgré tout …). J’en retiendrai deux pour cette rubrique. La première montre Bill et ses musiciens, tous réunis pour l’occasion. La question taraude l’esprit : pourquoi Bill sans ses Inmates alors que le chanteur a réintégré le groupe depuis plus d’un an ? Surtout que trois mois auparavant les « Taulards » ont fait un concert mémorable à la Villette à l’occasion des vingt ans de la sortie de « Sgt Pepper…. ».   Pour mémoire, concert enregistré et disponible sur disque. Alors pourquoi ce concert au Gibus ? Une partie de la réponse figure dans le « Inmates Story » n°

UPBEAT – LE ROCK GARAGE 60's S'INVITE À LA TÉLÉVISION

Image
Aux États-Unis, certaines émissions de télévision furent un tremplin extraordinaire pour la carrière de musiciens. Est-ce-que les BEATLES ou ELVIS PRESLEY auraient percé si vite sans leurs passages sur CBS au ED SULLIVAN SHOW ? Cleveland a toujours été un grand centre musical, la plupart des producteurs le savaient. Si un groupe obtenait du succès dans cette ville, le pays entier serait à ses pieds. C'est là que naquit le plus singulier de tous les programmes musicaux : UPBEAT. Une de ses particularités est que ses programmateurs n'avaient n'a pas hésité à diffuser des artistes ignorés d'autres émissions musicales de la petite lucarne. Son père s'appelait HERMAN SPERO, un vétéran de la télévision Américaine. Il était assisté de son fils Harry ainsi que du présentateur DON WEBSTER. L’idée était de profiter des passages de groupes de tout genre dans la ville et sa région. Il y avait à cet endroit de nombreux lieux de passages obligés pour les musiciens. Le LEO’S CASIN

THE SOUND OF NOW - THE DICTATORS

Image
THE DICTATORS  (New York, États-Unis) - rock'n'roll, proto-punk Andy Shernoff  (chant & basse) - Ross the Boss (guitare) - Scott Kempner (guitare) Albert Bouchard (batterie )            POUR TERMINER NOTRE DICTATORS WEEK VOICI LES DERNIÈRES VIDEOS L'Archiviste  (Merci d'avance pour vos commentaires !)

HOT WAX - WILLIAM STOUT - "TRADE MARK OF QUALITY" TIME (1/3)

Image
Vous le savez maintenant, dans ce blog, nous sommes amateurs de bootlegs au point d’y avoir consacré la rubrique Hot Wax. Si ce sujet vous intéresse aussi, le nom de William Stout et ses dessins pour le label « Trade Mark Of Quality » ne doivent pas vous être étrangers. Pour ceux qui croient ne pas le connaitre, vous avez certainement vu sans le savoir une de ses œuvres (affiches de Monty Python, Nosferatu, Rambo … ou ses créations dans les films Men In Black, Conan, le Retour Des Morts Vivants). Né en 1949 à Salt Lake City, WILLIAM STOUT a sa première révélation à la vue du film KING KONG de 1933 alors qu’il a seulement trois ans. Il devient fan de WILLIS O’BRIEN, créateur de KONG comme il le sera plus tard de RAY HARRYHAUSEN aussi créateur d’effets spéciaux de dinosaures et autres monstres. Il passe ensuite son temps à dessiner des dinosaures et commence à créer ses premières BD sous l’influence des dessinateurs « DC Comics » GIL KANE, CARMINE INFANTINO et MURPHY ANDERSON. Sa prem

DAY BY DAY : CHRIS BAILEY - AUTOPORTRAIT D'UN SAINT - 2IÈME PARTIE

Image
 Après les albums classiques des Saints et la période NEW ROSE évoqués dans la première partie, voici la suite de la carrière de Chris Bailey et des Saints. 1986 : THE SAINTS - All Fools Day (POLYDOR) Arturo LaRizza (basse) / Ivor Hay (batterie) / Richard Burgmann (guitare) Les Saints n'avaient pas vraiment percé avant le milieu des années 80 et All Fool's Day. C'est ce que j'ai considéré comme la première vraie sortie américaine. On a fait une tournée là-bas avec cet album et les gens demandaient : "C'est votre premier ?" Si le disque n’est pas sorti sur New Rose, c’est strictement pour des raisons d’affaire. Une décision que j’assume, puisque je l’ai prise, en sachant que l’avenir des Saints passait par une distribution plus large. Le moment était venu pour les Saints de renouer avec une grosse compagnie. C'est très difficile pour moi d'être terriblement objectif. Je pense que All Fool's Day est probablement l'une des meilleures choses au