En recherchant des informations sur Dr Feelgood sur la toile, nous avons eu le plaisir d'entrer en contact avec Paul Hildreth qui était, à notre avis, idéal pour un FANCLUB consacré aux DR FEELGOOD et WILKO JOHNSON, le pensez-vous aussi ? Peux-tu nous dire comment tu as découvert Dr Feelgood ? C'est facile. Je regardais un programme télévisé régional appelé Geordie Scene en 1975. Je venais d'avoir 16 ans. Un nouveau groupe appelé Dr Feelgood a été présenté - j'étais fasciné. J'ai adoré l'énergie de leur musique et leur guitariste. Je suis allé au magasin local le lendemain matin et j'ai commandé le LP - Down By the Jetty . Qu'écoutais-tu à l'époque, pourquoi leur musique a-t-elle attiré ton attention? J'ai des goûts éclectiques en musique - j'aime Cat Stevens , Roy Wood , Mott the Hoople , Roy Orbison et 10cc . Cela dit, j'étais encore à la recherche de ma véritable identité musicale - j'ai été élevé avec des classiques et

JP (nous l'appellerons ainsi pour préserver son anonymat) est le premier gars, bien avant moi, qui a pressé un bootleg en France.  Il était hyper sympa  et j'ai souvenir que sa nana était fort belle !  ( Daniel Lesueur . Mai 2022). Bonjour, je suis JP, je vis en France près de Paris. J'ai assisté au festival de Bath à  Shepton Mallet, les 27 et 28 juin 1970. Krishna Records, c'était moi. J'ai enregistré le concert et sorti le bootleg à 200 exemplaires  seulement.  Malheureusement, j'ai perdu les cassettes originales il y a longtemps, mais j'ai  toujours une copie de l'album pour ma collection privée. Le LP contient des titres de Johnny Winter, Led Zeppelin, Steppenwolf, Donovan, Jefferson  Airplane et Fairport Convention. JP en plein travail Je n'ai pas enregistré tout le festival. Je n'avais que deux cassettes de 60 minutes. Mon intention  n'était pas de sortir un bootleg au départ, mais seulement d'enregistrer un souvenir. JP Fernand

Comme nous l'avons vu précédemment dans Memorabilia , par le passé Jean-Luc Mosnier faisait quelques cassettes "pirates", mais il a aussi fait de jolis albums live de Clash !    Je faisais des K7 tirées à 25 exemplaires,  Chris Bailey  était passé dans un bar en  acoustique, je l'ai sorti en cassette. J'ai fait Cramps, Fleshtones, Ramones, Clash. C'était fait maison avec les titres tapés à la machine à écrire !!! En   vinyles   bootlegs ,  j'ai fait que The Clash et que du beau !!!                                                                                       Du travail soigné Le label que j'avais créé s'appelait "Les Productions de l'Emeute", uniquement pour The Clash.  Pochettes "maison", disques gravés entre 1 et 15 exemplaires selon les albums.  J'ai mis sur 7" le dernier titre de Joe Strummer jamais sorti.   Tous les acheteurs avaient cet insert avec le nom dessus. Le titre est le numéro de matricule de

Après sa chronique du concert d' Iggy Pop à Clermont Ferrand , Jean-Luc Mosnier nous livre ses souvenirs de rencontres avec Johnny Thunders et Stiv Bators. Thunders , je l'ai vu dans un bar du côté du club 3000 vers 1984. Avant le concert, on a bu une bière ensemble et il a signé les disques. A l'époque je faisais de la radio et j'enregistrai tous les concerts car je vendais les k7 pirates.  Dédicaces Johnny Thunders Et quand j'ai dit ça à  Stiv Bators , c'est là qu'il a marqué « Good Luck pirate » (dédicace du bootleg "Paralysed" ci-dessous). Il était en fauteuil, le concert de Lords Of The New Church était fou !  Je n'ai gardé aucune K7. Le Club 3000, j'ai été DJ là-bas c'est moi qui ai fait la fermeture. J'ai vu un paquet de trucs là dedans, Fuzztones j'avais enregistré le concert et je suis allé les voir le lendemain à Lyon et je leur avait fait une copie du concert. Samiam, j'ai des photos, j'ai vendu l'album si

« ENGLAND'S DREAMING : LES SEX PISTOLS ET LE PUNK » Jon Savage.  (Allia. 2ème édition, août 2005) Jon Savage a vécu le mouvement punk côté anglais. En 1976, il crée le fanzine « London's Outrage », puis travaille pour les magazines Sounds et Melody Maker. Proche de Malcolm McLaren, manager des Sex Pistols , il côtoie le groupe et le punk dans son ensemble ce qui lui permet, 25 ans plus tard, d'écrire « England's Dreaming ». Si  Please Kill Me  peut sembler un peu beauf et indigeste, abordant le sujet avec un certain mépris pour les groupes britanniques, England's Dreaming  est bien plus riche et plus subtil.  L'ouvrage, passionnant, débute en Angleterre à la fin des années 60, après les Mods (dont il est toutefois question au tout début). Il présente les événements à venir à travers l'ouverture du magasin de Malcolm McLaren, ses aller-retours aux USA, les New York Dolls , le Max's Kansas City, le tout sur fond de vie politique et sociale.  Savage lais